Le taux de représentation des femmes au parlement ghanéen est de 14.5 %, bien en deçà des 30 % minimum recommandés par l’Organisation des Nations Unies. Le projet de loi d’action positive du pays, qui prévoit l’augmentation progressive de la participation des femmes à la vie politique avec pour objectif la parité à l’horizon 2030, n’est pas encore adopté. Dans cet épisode, Edith Efua Chidi, co-responsable de l’Organisation de Société Civile Cluster on Decentralisation and Participation et responsable du plaidoyer pour SOS Children's Village (SOS Village d’Enfants) au Ghana, analyse les différents obstacles structurels à la participation des femmes à la vie politique. Notre hôte, Olajumoke (Jumo) Ayandele, est chercheuse post-doctorante au Centre d’étude de l’Afrique et de la diaspora africaine de l’Université de New York.
Pour en savoir plus sur nos travaux, consulter : www.oecd.org/fr/csao