La Partie II se compose de profils pays dont l’objet est d’apporter des éclairages sur la situation des PME et les tendances entrepreneuriales dans chaque pays, mais aussi de présenter le contexte économique national ainsi que les initiatives publiques récemment mises en œuvre afin de stimuler la dynamique entrepreneuriale et d’aider les entreprises à innover et à se développer. Ces profils suivent la structure du cadre conceptuel de la Partie I, et les informations sont présentées sous trois sections : i) structure et performances du secteur des PME ; ii) accès des PME aux ressources stratégiques ; et iii) environnement économique des PME.
Perspectives de l'OCDE sur les PME et l'entrepreneuriat 2019
Chapitre 8. Méthodologie des profils pays
Abstract
Les données statistiques concernant Israël sont fournies par les autorités israéliennes compétentes et sous leur responsabilité. L’utilisation de ces données par l’OCDE est sans préjudice du statut des hauteurs du Golan, de Jérusalem-Est et des colonies de peuplement israéliennes en Cisjordanie aux termes du droit international.
En bref
Les profils pays figurant dans les Perspectives sur les PME et l’entrepreneuriat offrent un aperçu de la structure, des performances et du contexte économique du secteur des PME de chaque pays de l’OCDE* et présentent les mesures récemment mises en œuvre par les pouvoirs publics au niveau national afin de soutenir la dynamique entrepreneuriale et d’aider les PME à innover et à se développer.
Afin de comparer l’accès des PME aux ressources stratégiques et le contexte économique dans lequel elles opèrent, les auteurs ont eu recours à toute une série d’indicateurs présentés sous forme d’indices, exprimés sur une échelle de 0 à 200 (0 étant la plus faible valeur des pays de l’OCDE, 200 la valeur la plus élevée et 100 la valeur médiane, c’est-à-dire la valeur située au milieu des pays de l’OCDE pour lesquels des données sont disponibles). Les graphiques indiquent la position et la dispersion des cinq valeurs les plus élevées (les pays les plus performants) et des cinq valeurs les plus faibles (les pays les moins performants), ainsi que la position relative du pays par rapport à la médiane (par un point). En l’absence de données disponibles, le point (la position du pays dans le classement) n’apparaît pas sur le graphique.
Lorsque les indicateurs rendent compte d’obstacles potentiels aux performances des PME (coûts, fardeau administratif, etc.) la lecture de la comparaison est inversée (et le critère est signalé par une astérisque), de sorte que lorsqu’un pays obtient une note élevée sa performance est effectivement bonne par rapport à la médiane de l’OCDE.
Les profils pays des Perspectives sur les PME et l’entrepreneuriat ont été élaborées à partir des tout derniers travaux et données disponibles au moment de la rédaction. Cela étant, en raison des différences dans les calendriers et les méthodes de collecte des données, les indicateurs peuvent présenter des écarts qui appellent une certaine prudence dans l’interprétation des données.
* des pays francophones pour la version en français.
Objet et structure
La Partie II des Perspectives sur les PME et l’entrepreneuriat se compose de profils par pays dont l’objet est d’apporter des éclairages sur la situation des PME et les tendances de l’entrepreneuriat dans chaque pays, mais aussi de présenter les initiatives publiques récemment mises en œuvre dans les différents pays afin de stimuler la dynamique entrepreneuriale et d’aider les PME à innover et à se développer.
Ces profils suivent la structure du cadre conceptuel de la publication décrit dans le guide de lecture figurant au tout début de l’ouvrage (Graphique 8.1 et Graphique 8.2). Ce cadre conceptuel s’applique également à la Partie I qui décrit l’évolution récente des conditions d’activité des PME et des politiques publiques s’y rapportant.
Dans les profils pays, les informations sont présentées en trois sections : i) structure et performances du secteur des PME du pays ; ii) accès des PME aux ressources stratégiques ; et iii) environnement économique des PME. Le contenu des profils est standardisé et harmonisé de façon à faciliter les comparaisons internationales.
La Partie II couvre les 36 pays de l’OCDE. Dans la publication, les profils sont présentés sous une forme abrégée, la version intégrale, assortie d’outils statistiques et de comparaison plus nombreux, étant disponible en ligne. On trouvera également en ligne des fiches concernant plusieurs pays émergents pour lesquels on dispose de données et d’informations sur l’action publique. La version imprimée en français présente uniquement les cinq pays francophones.
Structure de la population des PME et dynamique entrepreneuriale
La première partie des profils pays présente, pour un pays donné, la structure et les performances du secteur des PME en termes d’emploi, de valeur ajoutée, de productivité et de rémunération des salariés, et établit une comparaison avec la moyenne de l’OCDE (avec la moyenne des États-Unis pour ce qui est de la productivité). Les tendances récentes de la dynamique entrepreneuriale, en particulier les créations et faillites d’entreprises, sont également commentées, de même que l’évolution des créations et destructions d’emplois en fonction des créations et fermetures d’entreprises.
L’analyse est réalisée à partir de la base de données de l’OCDE sur les statistiques structurelles et démographiques des entreprises (SDBS), qui se compose de statistiques officielles recueillies par la Direction des statistiques et des données en coopération avec les offices statistiques nationaux et Eurostat ; et de la base de données de l’OCDE sur les indicateurs actualisés de l’entrepreneuriat (TIE) qui regroupe des statistiques officielles et des données administratives relatives aux entreprises. Pour établir la note relative au Canada, on a également eu recours à la base de données de l’OCDE sur le commerce international par caractéristiques économiques des entreprises (TEC), qui rassemble des statistiques officielles compilées par la mise en liaison de micro-données dans le domaine des statistiques sur les entreprises et sur les échanges.
Analyse comparative des conditions d’activité des PME : démarche générale et méthodologie
Les profils pays sont destinés à offrir une vision synthétique des conditions d’activité des PME dans un pays donné. Chaque dimension, comme l’accès au financement, l’accès aux compétences ou les conditions de marché, englobe un ensemble de thèmes concernant l’action publique à l’égard des PME, dont le ciblage et le contenu sont standardisés à des fins de comparaison (Graphique 8.2).
Afin de couvrir les nombreux aspects différents ayant une incidence sur les conditions d’activité des PME, la publication fait fond sur les travaux concernant les PME menés dans l’ensemble de l’Organisation et au-delà, notamment sur des mesures et des indicateurs.
Les indicateurs servant aux comparaisons, utilisés pour observer le contexte économique dans lequel opèrent les PME, proviennent d’un large éventail de sources de données primaires de l’OCDE et hors OCDE. La liste des indicateurs retenus a été établie en 2017-18 en prenant en compte les critères suivants : intérêt de l’action publique à l’égard des PME ; comparabilité internationale ; régularité de la collecte de données ; couverture géographique et comparabilité satisfaisante sur la durée. Les indicateurs et les sources de données primaires sont présentés de façon plus détaillée à l’Annexe 8.A.
Les renseignements sur les initiatives publiques sont extraits de diverses campagnes de collecte d’information menées récemment par l’OCDE et par d’autres acteurs, et de rapports internationaux de premier plan, à l’instar de la première partie. Les sources utilisées pour chaque pays sont indiquées à la fin de chaque profils. Certaines ressources générales couvrent plusieurs pays, notamment les pays de l’OCDE ; d’autres sont spécifiques à un pays.
Une infrastructure de données a été élaborée et intégrée dans le système de gestion des données de l’OCDE afin de centraliser, stocker et harmoniser les informations. Une fois les informations regroupées, le « lac de données » sur les PME est mis au service des futures analyses des politiques à l’égard des PME, et évoluera en fonction des besoins.
Tous les indicateurs sont présentés sous forme d’indices à des fins de comparaison (médiane OCDE = 100).
Les chiffres du pays considéré sont comparés à la valeur médiane observée dans la zone OCDE, c’est-à-dire la position du milieu parmi les pays de l’OCDE pour lesquels des données sont disponibles. En utilisant la médiane, on évite d’introduire un biais statistique en faveur des grands acteurs qui fausserait la moyenne, tout en faisant apparaître un classement international. La médiane présente également l’avantage, par rapport à un classement simple, de préserver les écarts de valeur entre les pays.
L’écart entre les chiffres du pays et la valeur médiane est représenté sur le graphique par une distance proportionnelle par rapport à la médiane. Cette règle s’applique de la même manière pour tous les pays. Dans un classement simple, l’écart entre deux pays dont les valeurs se suivent est égal à l’unité, et la distance par rapport à la médiane donne le classement.
Les indices sont présentés sur une échelle commune allant de 0 à 200 (la valeur 0 correspondant au chiffre le plus faible de l’OCDE, la valeur 100 à la médiane et la valeur 200 au chiffre le plus élevé) afin de les rendre comparables.
Soient la valeur du pays c au moment t, et et respectivement les valeurs minimales, médianes et maximales de l’OCDE au moment t, l’indice du pays est calculé comme suit :
Si alors
Si alors
Les graphiques comparatifs font ressortir la position et la dispersion des cinq valeurs les plus élevées (Élevé) et des cinq valeurs les plus faibles (Faible) de l’OCDE. La position relative du pays est indiquée par un point. En l’absence de données disponibles, le point, donc la position du pays dans le classement, n’apparaît pas sur le graphique.
Dans certains cas :
Les indicateurs sont normalisés (par rapport au PIB par exemple) pour tenir compte de la taille du pays. C’est notamment le cas pour la capacité de production d’électricité.
L’indice pays est inversé (et signalé par une astérisque) pour les indicateurs qui rendent compte d’obstacles potentiels aux performances des PME. C’est par exemple le cas de tous les indicateurs liés aux coûts d’accès aux ressources stratégiques, aux obstacles administratifs, réglementaires ou aux échanges, à l’endettement des acteurs économiques susceptible de peser sur la demande finale et sur les perspectives des marchés, à la peur de l’échec, etc. En l’occurrence, lorsqu’un pays obtient une note élevée au regard d’un indicateur qui mesure normalement un obstacle à l’entrepreneuriat ou un point faible de l’environnement économique des PME, sa performance est effectivement bonne par rapport à la médiane de l’OCDE.
Accès des PME aux ressources stratégiques
Trois sections thématiques permettent d’examiner dans quelles conditions les PME peuvent accéder à des ressources stratégiques et les exploiter (Graphique 8.2). Les petites entreprises sont généralement désavantagées par rapport aux grandes dans l’accès au financement, aux compétences utiles et aux actifs d’innovation (technologies, données, modèles économiques et pratiques organisationnelles, réseaux, etc., sous forme matérielle ou immatérielle). Or, le capital – financier, humain et intellectuel – est un facteur de production essentiel et un déterminant de la compétitivité des entreprises dans les économies du savoir.
Accès au financement
Pour les PME, l’accès, à chaque étape de leur cycle de vie, à des sources de financement adaptées est indispensable pour leur donner les moyens de démarrer, d’innover et de croître. Force est de constater toutefois que les PME restent sous-capitalisées et très dépendantes de l’endettement classique. Des données récentes montrent que les institutions financières font preuve d’une aversion de plus en plus marquée au risque, ce qui fait peser une charge supplémentaire sur les PME présentant un profil de risque élevé ou sur les entreprises dans l’incapacité de constituer une garantie.
Cette section consacrée à l’accès des PME au financement s’intéresse aux aspects suivants :
la capacité d’auto-financement des PME par les bénéfices ;
la situation du système bancaire national (solidité financière, ampleur de l’activité de crédit au secteur privé) et l’existence d’un écart entre les taux d’intérêt appliqués aux grandes entreprises et ceux appliqués aux PME ;
l’accès effectif des PME au crédit bancaire (nouveaux prêts aux PME, croissance de l’encours de prêts aux PME, prêts à long terme aux PME, c’est-à-dire les prêts servant à financer des besoins d’investissement et de croissance et non les opérations courantes), et les obstacles potentiels au crédit bancaire aux PME en termes de coût (taux d’intérêt appliqués aux PME) et de risque de refus des dossiers ;
la disponibilité du capital-risque à l’appui du développement des PME à différentes étapes (stades de l’amorçage et du démarrage et stades ultérieurs).
Cette section fait fond sur les travaux menés pour élaborer la publication intitulée Le financement des PME et des entrepreneurs : Tableau de bord de l’OCDE et sur les Principes de haut niveau de l’OCDE et du G20 sur le financement des PME (OECD, 2018[1]). Elle se fonde également sur les statistiques structurelles de l’OCDE sur les entreprises et sur les données réunies pour constituer la base de données de l’OCDE sur le financement de l’entrepreneuriat. Les indicateurs relatifs aux systèmes bancaires nationaux sont extraits des Indicateurs de solidité financière du Fonds monétaire international et de la Banque de données sur le développement de la Banque mondiale (voir Annexe 8.A).
Accès aux compétences
Il est plus difficile pour les PME que pour les grandes entreprises de repérer, d’attirer les talents, et de développer leurs compétences. Les résultats d’enquêtes récentes ne font apparaître aucun progrès s’agissant de la confiance des individus quant à leur capacité à créer une entreprise. Les compétences sont pourtant des atouts essentiels dans l’adoption des technologies, l’absorption de l’innovation et la gestion des changements organisationnels qui accompagnent les phases de transition.
Cette section consacrée à l’accès des PME aux compétences s’intéresse aux aspects suivants :
les acquis scolaires et la formation des adultes, indicateur qui rend compte de la disponibilité de compétences dans le pays et est mesuré par le niveau d’étude des adultes, leurs compétences en technologies de l’information et de la communication (TIC), leur volonté d’apprendre et leur capacité de réflexion créative, et l’accès des travailleurs à des formations en cours d’emploi ;
le niveau des élèves, indicateur des compétences dont pourrait disposer le pays à l’avenir, et est mesuré par les résultats obtenus par les élèves de 15 ans en résolution collective de problèmes, mathématiques et lecture, ainsi que par le taux de diplômés de l’enseignement supérieur du pays ;
les compétences entrepreneuriales, mesurées par les capacités perçues, l’intention de créer une entreprise et la peur de l’échec, au sein de la population en âge de travailler.
Cette section fait fond sur les travaux menés dans le cadre du Programme PISA de l’OCDE (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) et du Programme PIAAC (Programme international de l’OCDE pour l’évaluation des compétences des adultes), ainsi que sur la base de données de l’OCDE sur la qualité de l’emploi et les données officielles sur l’éducation recueillies par l’OCDE et l’UNESCO. Les résultats de la dernière enquête Global Entrepreneurship Monitor (GEM) sur la population adulte sont également pris en compte (voir Annexe 8.A.).
Accès aux actifs d’innovation
L’innovation résulte d’un processus d’accumulation par lequel les entreprises augmentent leur stock de capital intellectuel. Les PME rencontrent des difficultés particulières lorsqu’il s’agit d’adopter des technologies nouvelles ou de nouvelles pratiques organisationnelles et commerciales, de participer à des activités à forte intensité technologique ou d’intégrer des réseaux d’innovation.
Cette section consacrée à l’accès des PME aux actifs d’innovation s’intéresse aux aspects suivants :
la technologie, en étudiant l’acquisition par les PME de matériels et de logiciels, ainsi que l’adoption du haut débit par les PME ;
l’organisation et les processus, notamment l’usage que font les PME des outils fondés sur les TI (ex. : analytique de données, services d’infonuagique, gestion de la chaîne d’approvisionnement) et l’adoption des nouvelles pratiques commerciales (ex : ventes en ligne) ;
les réseaux collaboratifs, à savoir les activités de collaboration axées sur l’innovation menées par les PME que ce soit avec les ressources scientifiques (universités et organismes de recherche publics), au sein de la chaîne d’approvisionnement (ex. : avec les fournisseurs) et au sein de réseaux internationaux (participation à des projets d’innovation collectifs à l’étranger) ;
la R-D et l’innovation des PME, et la part des PME nationales actives en matière de R-D ou d’innovation.
Cette section fait fond sur plusieurs campagnes internationales de collecte de données, notamment des enquêtes de l’OCDE et d’Eurostat sur la R-D, l’enquête communautaire sur l’innovation d’Eurostat et la base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises.
L’environnement économique des PME
Trois sections thématiques étudient le contexte économique et les conditions-cadres dans lesquels les PME peuvent exercer leur activité et se développer. Les PME sont en général davantage tributaires de leur écosystème économique que les grandes entreprises. Elles sont moins bien armées pour faire face à des conditions-cadres déficientes, aux défaillances du marché et aux chocs économiques ; en outre des infrastructures inefficaces restreignent leur accès aux marchés et aux ressources stratégiques dont elles ont besoin pour exercer leur activité.
Le cadre institutionnel et réglementaire
Même si les obstacles réglementaires à l’entrepreneuriat se sont allégés au fil du temps, la complexité des procédures réglementaires reste un obstacle majeur pour les PME et les entrepreneurs. Le coût des obligations administratives demeure plus élevé pour les petites entreprises que pour les grandes. Des régimes d’insolvabilité inefficaces limitent la restructuration des entreprises viables et la possibilité pour les entrepreneurs de bénéficier d’une seconde chance.
Cette section consacrée au cadre institutionnel et réglementaire s’intéresse aux aspects suivants :
la réglementation, en examinant l’ampleur de la charge administrative qui pèse sur les jeunes entreprises et le coût de création d’une entreprise ou du règlement de l’insolvabilité, ainsi que les efforts engagés pour simplifier les procédures et renforcer le cadre d’insolvabilité ;
la justice, la concurrence et la fiscalité, en étudiant plusieurs dimensions, notamment la qualité des procédures judiciaires, le coût de l’exécution des contrats, les distorsions nées de la participation de l’État, les obstacles dans les secteurs des services et des réseaux, et le temps nécessaire à la discipline fiscale ;
l’efficience de la gouvernance publique, représentée par l’intensité de la dette des administrations publiques, l’adoption de l’analyse d’impact de la réglementation, la disponibilité et la pertinence des services participatifs accessibles sur les sites internet des administrations, et les efforts déployés pour promouvoir l’ouverture des données publiques.
Cette section fait fond sur les travaux de l’OCDE menés dans le cadre du suivi de la réglementation des marchés de produits, du programme de mesure des performances en matière réglementaire, du Panorama des administrations publiques, ainsi que sur plusieurs indicateurs de l’enquête Doing Business de la Banque mondiale.
Conditions de marché
Les opportunités et les défis qui se présentent aux PME dans l’accès aux marchés sont très divers d’un pays à l’autre. L’équité des conditions de concurrence fait l’objet d’une attention plus grande depuis quelques années. Les conditions d’accès sur les marchés internationaux et de participation aux marchés publics, ou encore l’accès aux infrastructures, restent relativement difficiles pour les petites entreprises.
Cette section consacrée aux conditions de marché s’intéresse aux aspects suivants :
le marché intérieur, en examinant la part de la demande approvisionnée par des fournisseurs internationaux ainsi que les perspectives en matière de consommation et d’investissement, représentées par la dette des sociétés non financière et des ménages ;
les marchés publics, notamment l’ampleur de la commande publique, l’existence de fonctionnalité de passation électronique des marchés publics qui facilitent l’accès aux appels d’offres et la gestion des contrats, et les bonnes pratiques sur le plan du paiement des fournisseurs ;
les échanges et l’investissement direct étranger, la position du pays dans les chaînes de valeur mondiales (c’est-à-dire ses liens avec les acteurs en amont et en aval), les restrictions aux échanges dans les services informatiques, d’ingénierie et de télécommunications, les pratiques de facilitation des échanges et la restrictivité de la réglementation de l’investissement direct étranger.
Cette section fait fond sur les statistiques de l’OCDE sur les comptes nationaux, la base de données de l’OCDE sur les échanges en valeur ajoutée (EVA), la base de données des indicateurs de restrictions aux échanges de services (IRES), les indicateurs de l’OCDE relatifs à la facilitation des échanges, et l’indice OCDE de restrictivité de la réglementation de l’IDE, mais aussi sur les travaux relatifs aux marchés publics menés dans le cadre de l’élaboration du Panorama des administrations publiques. Les résultats du dernier rapport sur l’analyse comparative des marchés publics (Benchmarking Public Procurement) de la Banque mondiale sont également utilisés.
Infrastructures
Les infrastructures physiques, numériques et de réseaux sont les piliers de tout écosystème économique dynamique. La qualité des infrastructures est primordiale pour l’implantation des PME sur les marchés éloignés et leur intégration dans les CVM, ou encore pour leur garantir un accès d’un bon rapport coût/efficacité aux ressources stratégiques.
Cette section consacrée aux infrastructures s’intéresse aux aspects suivants :
la logistique et l’énergie, en particulier l’intensité de l’investissement dans les infrastructures de transport, dans la qualité des infrastructures (performance logistique, capacité de production d’électricité ou fiabilité de la fourniture d’énergie) et leur accessibilité en termes de coût ;
les TIC et l’internet, l’intensité de l’investissement dans les TIC, la performance des infrastructures numériques (représentée par les taux de pénétration du haut débit fixe et mobile et le niveau de sécurité numérique) et leur accessibilité en termes de coût ;
la R-D et l’innovation, l’intensité de l’investissement national en R-D, la performance des infrastructures de R-D (représentée par leur production en nombre de brevets internationaux et la densité de leurs connexions, à savoir les interactions entre les entreprises et le monde scientifique, entre régions et entre pays).
Cette section fait fond sur un large éventail de sources de données internationales, à savoir : pour les transports et la logistique, la base de données OCDE/Forum international des transports (FIT), l’Indice de performance logistique de la Banque mondiale et les indicateurs de l’enquête Doing Business de la Banque mondiale ; pour l’énergie, les informations de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) sur l’électricité, les prix et la fiscalité de l’énergie, ainsi que les indicateurs de l’enquête Doing Business de la Banque mondiale ; pour l’infrastructure numérique, les statistiques de l’OCDE sur les comptes nationaux, celles sur le haut débit et la base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises ; pour les infrastructures de R-D et d’innovation, les travaux de l’OCDE sur la R-D, la science, les technologies et l’industrie, les données sur la propriété intellectuelle, plus précisément les statistiques de la recherche-développement (base de données SRD), les principaux indicateurs de la science et de la technologie (base de données PIST) et STI Micro-data Lab. Les données relatives aux régions sont extraites d’une version précédente du rapport Panorama des régions de l’OCDE.
Réserves et prudence dans l’interprétation
Les profils pays figurant dans les Perspectives sur les PME et l’entrepreneuriat ont été élaborées à partir des tout derniers travaux et données disponibles au moment de la rédaction. Cela étant, en raison des différences dans les calendriers et les processus de collecte des données, les données servant aux comparaisons peuvent ne pas se rapporter à la même année pour tous les indicateurs. On peut constater un écart de plusieurs années entre les données relatives aux performances des PME et celles relatives à l’environnement économique des PME. Il est possible que des données relatives aux conditions d’activité soient postérieures à celles sur les performances des PME. Il convient de ne pas perdre de vue cet aspect lors de l’interprétation des données. Pour les indicateurs relatifs aux conditions d’activité des PME, les données ont été prises en compte jusqu’à la mi-mars 2019, sauf pour les indicateurs relatifs à la réglementation du marché des produits dont la publication officielle est intervenue plus tard au cours du printemps 2019.
Certaines dimensions analytiques n’ont pas été retenues mais on pourra y accorder une plus grande attention ultérieurement, dans la mesure où les données disponibles le permettront. Il s’agit notamment de la ventilation par sexe, par secteur d’activité ou encore de données au niveau infranational par exemple.
Certains éléments intéressants peuvent être couverts de façon inégale par les statistiques dans la mesure où il n’existe pas de sources primaires dans tous les pays. C’est le cas des indicateurs relatifs à l’accès aux actifs intellectuels pour les pays non membres de l’UE.
Annexe 8.A. Sources des données et définitions
Tableau d’annexe 8.A.1. Structure et performances de la population des PME
Emploi |
Part des PME dans l’emploi total (%) |
Emploi par taille d’entreprise, en pourcentage de l’ensemble des actifs de l’économie marchande. Les micro-entreprises désignent les entreprises comptant entre 1 à 9 salariés ; les petites entreprises entre 10 et 49 ; les moyennes entreprises entre 50 et 249 et les grandes entreprises plus de 250 salariés. |
Base de données de l'OCDE sur les statistiques structurelles et démographiques des entreprises (SDBS) |
Valeur ajoutée |
Part des PME dans la valeur ajoutée totale (%) |
Valeur ajoutée par taille d’entreprise, en pourcentage de la valeur ajoutée totale de l’économie marchande. Les micro-entreprises désignent les entreprises comptant entre 1 à 9 salariés ; les petites entreprises entre 10 et 49 ; les moyennes entreprises entre 50 et 249 et les grandes entreprises plus de 250 salariés. |
|
Emploi des PME par activité |
Part des PME dans l’emploi en entreprise, par secteur (%) |
Emploi dans les PME, en proportion de l’emploi total en entreprise par secteur. |
|
Créations d’entreprises |
Indice, créations d’entreprises en 2012 = 100 |
Créations d’entreprises, indice 2012 = 100. Voir la définition de la création d’entreprise dans la méthodologie de la source primaire. |
Base de données de l'OCDE sur les indicateurs actualisés de l'entrepreneuriat (TIE) |
Faillites |
Indice, faillites en 2012 = 100 |
Faillites, indice 2012 = 100. Voir la définition des faillites dans la méthodologie de la source primaire. |
|
Productivité de la main d’œuvre |
En milliers USD, à taux de change constant, année de référence : 2010 |
Valeur ajoutée par taille d’entreprise par salarié, en pourcentage des grandes entreprises, économie marchande. |
|
Rémunération par salarié |
En milliers USD, à taux de change constant |
Rémunération par salarié, par catégorie de taille d’entreprise, activités de fabrication. |
|
Créations / destructions d’emplois |
Création / destruction nette d’emplois (en % de l’emploi total) |
Variation nette de l’emploi par naissances / disparitions d’entreprises et dans les entreprises en place, exprimée en pourcentage de l’emploi total dans l’économie marchande. |
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Créations d’emplois par les nouvelles entreprises, par secteur |
Ventilation sectorielle des créations d’emplois par les nouvelles entreprises (%) |
Ventilation des créations d’emplois par naissances d’entreprises dans les principaux secteurs. |
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Dix principaux secteurs d’exportation des PME |
Part des exportations des PME dans le secteur (%) |
Part des exportations des PME en pourcentage des exportations de l’ensemble des entreprises du secteur d’activité. (graphique uniquement pour le Canada) |
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Exportations des PME au Canada et aux États-Unis |
Part des exportations des PME dans le secteur (%) |
Part des exportations des PME en pourcentage des exportations de l’ensemble des entreprises dans le secteur d’activité. (graphique uniquement pour le Canada |
Tableau d’annexe 8.A.2. Accès au financement
Autofinancement |
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Marges bénéficiaires des PME |
Excédent net d’exploitation (en % de la valeur ajoutée) |
Excédent net d’exploitation des entreprises de moins de 250 salariés, en pourcentage de la valeur ajoutée qui leur est imputable. Industrie (hors construction) uniquement. Les données se rapportent à 2016. |
Statistiques structurelles des entreprises - Indicateurs démographiques |
Système bancaire |
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Solidité financière (capital/actifs) |
Ratio fonds propres réglementaires / actifs pondérés des risques |
Cet indicateur est calculé sous la forme d’un ratio avec les fonds propres réglementaires au numérateur et les actifs pondérés des risques au dénominateur. Les données sont compilées conformément aux directives de Bâle I ou de Bâle II. Cet indicateur mesure l’adéquation des fonds propres des institutions collectrices de dépôt. L’adéquation et la disponibilité des capitaux détermine in fine la solidité des institutions financières en termes de capacité de leur bilan à résister aux chocs. Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Activité de crédit des banques locales au secteur privé |
Activité de crédit des banques locales au secteur privé (en % du PIB) |
L’activité de crédit des banques locales au secteur privé se rapporte aux ressources financières fournies au secteur privé par d’autres établissements de dépôt (institutions collectrices de dépôt hors banques centrales), au moyen de prêts, acquisition de titres non représentatifs d’une fraction du capital, crédits commerciaux et autres effets à recevoir, constitutifs d’une créance. Dans certains pays, ces créances englobent les crédits aux entreprises publiques. Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Banque de données de la Banque mondiale sur les indicateurs de développement |
Écart de taux d’intérêt, PME* |
Écart de taux d’intérêt entre les petites et les grandes entreprises (en %) |
Mesure la tension du marché et la corrélation (positive ou négative) entre les taux d’intérêt et la taille de l’entreprise. Lorsque l’écart de taux se creuse, l’accès des PME au financement a tendance à se réduire. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2017. |
|
Crédit bancaire |
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Nouveaux prêts aux PME |
Nouveaux prêts aux PME (en % du total des nouveaux prêts aux entreprises) |
Mesure le flux de prêts bancaires et de remboursements aux banques sur une année. Exprimé en pourcentage du total des nouveaux prêts, toutes entreprises confondues. Les données se rapportent à 2016. |
|
Croissance de l’encours de prêt aux PME |
Taux de croissance annuel de l’encours des prêts aux PME (en %) |
Mesure l’évolution de la demande et de l’accès des PME au crédit bancaire. L’encours de prêts aux PME est un indicateur de stock rendant compte à la fois des nouveaux prêts et des prêts bancaires qui se sont accumulés au fil du temps et des remboursements. La croissance est exprimée en taux annuel. Les données se rapportent à 2016-17. |
|
Prêts à long terme des PME |
Part des prêts à long terme des PME |
Mesure la structure de la dette des PME et détermine si les prêts servent à financer les activités courantes ou des besoins d’investissement et de croissance. Sont considérés comme des prêts à long terme les prêts de plus d’un an. Les données se rapportent à 2017. |
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Taux d’intérêt réel appliqué aux PME* |
Taux d’intérêt réel appliqué aux PME, en % |
Rend compte des taux d’intérêt réels appliqués aux PME en tenant compte des effets de l’inflation. Des taux d’intérêt en hausse pour les PME indiquent généralement un accès plus difficile des PME au financement. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2017. |
|
Taux de rejet des demandes de prêts des PME |
Taux de rejet des demandes de prêts des PME (en %) |
Mesure le nombre relatif de demandes de crédits pour lesquelles les PME n’ont pas obtenu la totalité du montant demandé. Une augmentation du taux de rejet des demandes de prêt indique généralement un accès plus difficile des PME au financement. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2017. |
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Financement par apport de fonds propres |
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Capital-risque |
Capital-risque (en % du PIB) |
Investissements de capital-risque (amorçage / démarrage / autres stades initiaux et stades plus avancés du développement) en pourcentage du PIB, hors capital-transmission, capital-retournement et capital-remplacement, qui est destiné à la restructuration et concernent généralement les grandes entreprises. Les données se rapportent à 2016. |
Base de données de l’OCDE sur le financement de l’entrepreneuriat |
Capital-risque, démarrage |
Capital-risque, démarrage (en % du PIB) |
Investissements de capital-risque aux stades de l’amorçage, du démarrage et autres stades initiaux, en % du PIB. Les données se rapportent à 2016. |
Base de données de l’OCDE sur le financement de l’entrepreneuriat |
Capital-risque, développement |
Capital-risque, développement (en % du PIB) |
Investissements de capital-risque aux stades ultérieurs de développement, en % du PIB. Les données se rapportent à 2016. |
Base de données de l’OCDE sur le financement de l’entrepreneuriat |
Tableau d’annexe 8.A.3. Accès aux compétences
Niveau d’instruction des adultes |
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Adultes diplômés de l’enseignement supérieur |
Adultes diplômés de l’enseignement supérieur (en %) |
Mesure la proportion de la population adulte (de 25 à 64 ans) diplômée de l’enseignement supérieur. Ne tient pas compte des programmes de formation professionnelle. Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Adultes ayant des compétences de base en TIC |
Adultes n’ayant aucune expérience de l’informatique ou ne possédant pas les compétences TIC de base (en %) |
Pourcentage des adultes de 25 à 65 ans n’ayant aucune expérience de l’informatique ou ayant échoué au test de base en informatique de l’enquête PIIAC (en %). Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2015 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Évaluation de l’OCDE des compétences des adultes – Rapport de l’OCDE sur les compétences 2016 |
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Volonté d’apprendre / créativité |
Volonté d’apprendre / créativité des adultes (%) |
Rend compte de la disposition des adultes en âge de travailler (de 16 à 65 ans) à apprendre et de leur créativité. Indicateur fondé sur six éléments liés à l’ouverture aux expériences nouvelles et à la créativité. Voir Grundke et al 2017 pour des précisions sur la méthodologie. Les données se rapportent à 2015 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Tableau de bord STI 2017, basé sur l’Évaluation de l’OCDE des compétences des adultes |
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Formation et apprentissage en entreprise |
Stress au travail, formation et apprentissage, tous travailleurs (en %) |
Rend compte du nombre de travailleurs ayant déclaré avoir reçu une formation en cours d’emploi. La base de données sur la qualité de l’emploi cible trois dimensions clés : i) la qualité des revenus d’activité ; ii) la sécurité sur le marché du travail ; et iii) la qualité de l’environnement de travail. Le stress au travail correspond à une situation où les exigences professionnelles sont supérieures à la quantité de ressources disponibles pour les exécuter (voir la description au chapitre 5 du rapport Comment va la vie ? 2013). On recense deux types d’exigences professionnelles : i) les contraintes de temps, qui englobent de longues journées, l’intensité du travail, et la rigidité des horaires de travail ; et ii) l’exposition à des risques pour la santé physique, comme les travaux dangereux (exposition au bruit, aux vibrations, à des températures élevées ou basses) et les travaux difficiles (port ou manutention de charges lourdes, position de travail douloureuse ou pénible). De même on distingue deux types de ressources professionnelles : i) l’autonomie dans le travail et les possibilités d’apprentissage, qui concernent notamment la liberté qu’ont les travailleurs de choisir et de varier les tâches ainsi que les méthodes, ainsi que les possibilités d’apprentissage formelles (la formation) et informelles au travail ; et ii) le soutien social au travail, qui mesure le soutien que reçoit le travailleur de la part de ses collègues et de ses supérieurs hiérarchiques. L’indice composite du stress au travail mesure les situations où les travailleurs sont confrontés à une exigence et ne disposent d’aucune ressource pour y faire face, ou à deux exigences mais ne disposent de ressources permettant de ne répondre à une seule, voire à aucune, d’entre elles. Les données se rapportent à 2015 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Compétences des élèves |
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Résolution collective de problèmes |
Élèves les plus performants en résolution collective de problèmes (en %) |
Rend compte de la capacité des élèves (âgés de 15 ans) à s’engager dans un traitement cognitif pour comprendre et résoudre des problèmes, en l’absence de méthode de solution évidente. Sur une échelle de 0 (moins bonne performance) à 600 (meilleure performance). Part des élèves les plus performants (se classant en haut de l’échelle de compétences – 5 et 6 –) dans l’ensemble des élèves de 15 ans. Les données se rapportent à 2017. |
Programme PISA de l'OCDE (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) |
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Mathématiques |
Élèves les plus performants en mathématiques (en %) |
Rend compte des compétences des élèves (âgés de 15 ans) en mathématiques. Sur une échelle de 0 (moins bonne performance) à 600 (meilleure performance). Part des élèves les plus performants (se classant en haut de l’échelle de compétences – 5 et 6 –) dans l’ensemble des élèves de 15 ans. Les données se rapportent à 2017. Les données se rapportent à 2015. |
Programme PISA de l'OCDE (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) |
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Lecture |
Élèves les plus performants en lecture (en %) |
Rend compte des compétences des élèves (âgés de 15 ans) en lecture. Sur une échelle de 0 (moins bonne performance) à 600 (meilleure performance). Part des élèves les plus performants (se classant en haut de l’échelle de compétences – 5 et 6 –) dans l’ensemble des élèves de 15 ans. Les données se rapportent à 2017. Les données se rapportent à 2015. |
Programme PISA de l'OCDE (Programme international pour le suivi des acquis des élèves) |
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Obtention d’un diplôme de l’enseignement supérieur |
Taux d’obtention d’un diplôme de l’enseignement supérieur (en %) |
Les taux d’accès / d’obtention d’un diplôme représentent la proportion d’une classe d’âge dont on estime qu’ils atteindront / réussiront un certain niveau d’enseignement au moins une fois dans leur vie. Les données se rapportent au taux d’obtention du premier diplôme du niveau considéré des moins de 30 ans et ne tient pas compte des étudiants mobiles à l’international. L’enseignement supérieur désigne les cycles courts et longs de niveaux 5 à 8 de la CITE (CITE 2011). Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Compétences entrepreneuriales |
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Capacités entrepreneuriales perçues |
Capacités entrepreneuriales perçues parmi la population adulte (en %) |
Pourcentage des 18-64 ans (hors personnes engagées dans une activité entrepreneuriale, à quelque stade que ce soit) estimant disposer des compétences et connaissances nécessaires pour lancer une entreprise. Sur une échelle de 0 (faible) à 100 (élevé). Les données se rapportent à 2017. |
Global Entrepreneurship Monitor (GEM) – Enquête sur la population adulte |
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Intention de créer une entreprise |
Intention de créer une entreprise parmi la population adulte (en %) |
Pourcentage des 18-64 ans (hors personnes engagées dans une activité entrepreneuriale, à quelque stade que ce soit) qui sont des entrepreneurs en puissance et ont l’intention de créer une entreprise dans les trois prochaines années. Sur une échelle de 0 (faible) à 100 (élevé). Les données se rapportent à 2017. |
Global Entrepreneurship Monitor (GEM) - Enquête sur la population adulte |
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Peur de l’échec* |
Peur de l’échec au sein de la population adulte (en %) |
Pourcentage des 18-64 ans (hors personnes engagées dans une activité entrepreneuriale, à quelque stade que ce soit) indiquant que la peur de l’échec pourrait les empêcher de créer une entreprise. Sur une échelle de 0 (faible) à 100 (élevé). Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2017. |
Global Entrepreneurship Monitor (GEM) - Enquête sur la population adulte |
Tableau d’annexe 8.A.4. Accès à l’innovation
Technologie |
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Matériels et logiciels, petites entreprises |
Acquisition de machines, équipements et logiciels, petites entreprises (%) |
Proportion d’entreprises innovantes de [10 à 49] salariés investissant dans l’acquisition de machines, matériels et logiciels (en %). Les données se rapportent à 2016. |
Enquête communautaire sur l'innovation (ECI) d'Eurostat + enquêtes nationales sur l'innovation |
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Matériels et logiciels, moyennes entreprises |
Acquisition de machines, équipements et logiciels, moyennes entreprises (%) |
Proportion d’entreprises innovantes de [50 à 249] salariés investissant dans l’acquisition de machines, matériels et logiciels (en %). Les données se rapportent à 2016. |
Enquête ECI d'Eurostat + enquêtes nationales sur l'innovation |
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Connexion aux réseaux à haut débit, petites entreprises |
Connexion aux réseaux à haut débit fixes, petites entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [10 à 49] salariés disposant d’une connexion aux réseaux à haut débit fixes garantissant un débit descendant d’au moins 100 Mbit/s. Ensemble du secteur des activités de fabrication et du secteur des services marchands non financiers. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Connexion aux réseaux à haut débit, moyennes entreprises |
Connexion aux réseaux à haut débit fixes, moyennes entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [50 à 249] salariés disposant d’une connexion aux réseaux à haut débit fixes garantissant un débit descendant d’au moins 100 Mbit/s. Ensemble du secteur des activités de fabrication et du secteur des services marchands non financiers. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Organisation et processus |
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Analyse de données massives, petites entreprises |
Entreprises ayant réalisé des analyses de données massives, petites entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [10 à 49] salariés ayant réalisé des analyses de données massives. Ensemble du secteur des activités de fabrication et du secteur des services marchands non financiers. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Analyse de données massives, moyennes entreprises |
Entreprises ayant réalisé des analyses de données massives, moyennes entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [50 à 249] salariés ayant réalisé des analyses de données massives. Ensemble du secteur des activités de fabrication et du secteur des services marchands non financiers. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Infonuagique, petites entreprises |
Services d’infonuagique, petites entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [10 à 49] salariés ayant recours à des services d’infonuagique. L’infonuagique désigne les services TIC utilisés sur l’internet permettant d’accéder à des serveurs, à des capacités de stockage, à un réseau et à des applications logicielles. Ensemble du secteur des activités de fabrication et du secteur des services marchands non financiers. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Infonuagique, moyennes entreprises |
Services d’infonuagique, moyennes entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [50 à 249] salariés ayant recours à des services d’infonuagique. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement, petites entreprises |
Gestion de la chaîne d’approvisionnement, petites entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [10 à 49] salariés communiquant par voie électronique des informations sur la gestion de la chaîne d’approvisionnement (GCA) à leurs fournisseurs et à leurs clients. La communication d’informations GCA aux fournisseurs et clients désigne l’utilisation d’applications d’échange automatique de données (EAD). Ensemble du secteur des activités de fabrication et du secteur des services marchands non financiers. Les données se rapportent à 2017. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Gestion de la chaîne d’approvisionnement, moyennes entreprises |
Gestion de la chaîne d’approvisionnement, moyennes entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [50 à 249] salariés communiquant par voie électronique des informations sur la gestion de la chaîne d’approvisionnement (GCA) à leurs fournisseurs et à leurs clients. Les données se rapportent à 2017. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Ventes en ligne, petites entreprises |
Ventes en ligne, petites entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [10 à 49] salariés qui vendent des biens et des services sur les réseaux informatiques au moyen de méthodes spécialement conçues pour la réception de commande (ex. : pages internet, extanet ou échange automatique de données – EAD – mais pas commandes par téléphone, fax ou courriers électroniques manuels). Les modes de règlement et de livraison ne sont pas pris en compte. Ensemble du secteur des activités de fabrication et du secteur des services marchands non financiers. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Ventes en ligne, moyennes entreprises |
Ventes en ligne, moyennes entreprises (%) |
Proportion d’entreprises de [50 à 249] salariés qui vendent des biens et des services sur les réseaux informatiques. Les données se rapportent à 2018. |
Base de données de l’OCDE sur l’usage des TIC par les entreprises |
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Réseaux collaboratifs axés sur l’innovation |
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Avec les ressources scientifiques |
PME collaborant en matière d’innovation avec des établissements d’enseignement supérieur ou des organismes de recherche publics (en % des PME) |
La collaboration en matière d’innovation recouvre la coopération active avec d’autres organisations sur des projets d’innovation conjoints (visant notamment à lancer des produits ou processus nouveaux ou sensiblement améliorés), mais pas la sous-traitance pure de travaux liés à l’innovation. Cette notion peut recouvrir la mise en œuvre d’innovations en association avec les clients et les fournisseurs, ainsi que des partenariats avec d’autres entreprises ou organisations. Exprimée en pourcentage des PME innovantes en matière de produits et/ou de processus. Les données se rapportent à 2016 pour les pays de l’UE et à 2014 pour les autres. |
Enquête ECI d'Eurostat + enquêtes nationales sur l'innovation et Science, technologie et industrie : Tableau de bord de l'OCDE 2017 |
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Au sein de la chaîne d’approvisionnement |
PME collaborant en matière d’innovation avec leurs fournisseurs (en % des PME) |
La collaboration en matière d’innovation recouvre la coopération active avec d’autres organisations sur des projets d’innovation conjoints (visant notamment à lancer des produits ou processus nouveaux ou sensiblement améliorés), mais pas la sous-traitance pure de travaux liés à l’innovation. Cette notion peut recouvrir la mise en œuvre d’innovations en association avec les clients et les fournisseurs, ainsi que des partenariats avec d’autres entreprises ou organisations. Exprimée en pourcentage des PME innovantes en matière de produits et/ou de processus. Les données se rapportent à 2016 pour les pays de l’UE et à 2014 pour les autres. |
Enquête ECI d'Eurostat + enquêtes nationales sur l'innovation et Science, technologie et industrie : Tableau de bord de l'OCDE 2017 |
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Au sein de réseaux internationaux |
PME participant à une collaboration internationale en faveur de l’innovation (en % des PME) |
La collaboration internationale en matière d’innovation désigne la participation à des projets d’innovation collectifs à l’étranger. Exprimée en pourcentage des PME innovantes en matière de produits et/ou de processus. Les données se rapportent à 2014. |
Science, technologie et industrie : Tableau de bord de l'OCDE 2017 |
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R-D et innovation |
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Intensité de R-D, petites entreprises |
PME actives en matière de R-D, petites entreprises (en % de l’ensemble des entreprises) |
Dépenses intérieures en recherche et développement des entreprises (DIRDE), par catégorie de taille d’entreprises, en pourcentage des DIRDE totales. Les petites entreprises désignent les entreprises de [10 à 49] salariés. Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle on dispose de données. |
Base de données sur les statistiques de la recherche et développement |
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Intensité de R-D, moyennes entreprises |
PME actives en matière de R-D, moyennes entreprises (en % de l’ensemble des entreprises) |
DIRDE par catégorie de taille, en pourcentage des DIRDE totales. Les moyennes entreprises désignent les entreprises de [50 à 249] salariés. Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Base de données sur les statistiques de la recherche et développement |
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Innovation, petites entreprises |
Entreprises innovantes, petites entreprises (%) |
Proportion d’entreprises innovantes de [10 à 49] salariés ayant lancé une innovation, de quelque type que ce soit (%). Les données se rapportent à 2016. |
Enquête ECI d'Eurostat + enquêtes nationales sur l'innovation |
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Innovation, moyennes entreprises |
Entreprises innovantes, moyennes entreprises (%) |
Proportion d’entreprises innovantes de [50 à 249] salariés ayant lancé une innovation, de quelque type que ce soit (%). Les données se rapportent à 2016. |
Enquête ECI d'Eurostat + enquêtes nationales sur l'innovation |
Tableau d’annexe 8.A.5. Cadre institutionnel et réglementaire
Réglementation |
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Fardeau administratif pesant sur les start-ups* |
Fardeau administratif pesant sur les start-ups (indice) |
Élément de l’indice composite « Obstacles à l’entrée d’entreprises nationales et étrangères ». Couvre le fardeau administratif qui pèse sur les entreprises par actions et les entreprises individuelles, ainsi que la lourdeur des procédures d’obtention des autorisations et permis. Sur une échelle de 0 – le moins restrictif – à 6 – le plus restrictif. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018. |
Indicateurs de l’OCDE sur la réglementation des marchés de produits |
Simplification des procédures réglementaires |
Complexité des procédures réglementaires (indice) |
Indice composite « Complexité des procédures réglementaires ». Rend compte de la stratégie de communication et des efforts des pouvoirs publics pour réduire et simplifier le fardeau administratif dans les relations avec l’administration. Sur une échelle de 0 – le moins restrictif – à 6 – le plus restrictif. Les données se rapportent à 2018. |
Indicateurs de l’OCDE sur la réglementation des marchés de produits |
Coût de lancement d’une entreprise* |
Lancement d’une entreprise (coût en % du revenu par habitant) |
Rend compte du coût (en % du revenu par habitant) induit par la création d’une entreprise, le transfert de propriété, la préparation et la déclaration des informations fiscales et le paiement des impôts et taxes. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018. |
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Solidité du cadre d’insolvabilité |
Solidité du cadre d’insolvabilité (indice) |
Mesure le cadre juridique de l’insolvabilité (de jure). Correspond à la somme de quatre autres indices : i) indice relatif à l’ouverture de la procédure (sur une échelle de 0 à 3) ; ii) indice sur la gestion des actifs du débiteur (sur une échelle de 0 à 6) ; iii) indice sur la procédure de redressement judiciaire (sur une échelle de 0 à 3) ; et iv) indice mesurant la participation des créanciers (sur une échelle de 0 à 4). L’indice de solidité du cadre juridique varie de 0 à 16, les valeurs plus élevées désignant les législations les mieux conçues pour pouvoir redresser les entreprises viables et liquider celles qui ne le sont pas. Les données se rapportent à 2018. |
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Coût du règlement de l’insolvabilité* |
Règlement de l’insolvabilité (coût, en % du patrimoine) |
Indicateur relatif au coût réel (en % du patrimoine) de fermeture d’une entreprise. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018. |
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Justice, concurrence et fiscalité |
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Qualité des procédures judiciaires |
Qualité des procédures judiciaires (indice) |
L’indice relatif à la qualité des procédures judiciaires mesure, dans chaque pays, l’existence d’une série de bonnes pratiques qui favorisent la qualité et l’efficacité de l’appareil judiciaire dans quatre domaines : structure des tribunaux et procédures judiciaires, gestion des affaires, automatisation du système judiciaire et modes alternatifs de règlement des litiges. L’indice varie de 1 à 5, les valeurs les plus élevées indiquant une structure judiciaire plus élaborée et plus rationnelle. Les données se rapportent à 2018. |
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Coût de l’exécution des contrats* |
Exécution des contrats (coût, en % des plaintes) |
Ressources nécessaires pour exécuter un contrat, en termes de coûts en % des plaintes. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018 |
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Distorsions nées de la participation de l’État* |
Distorsions nées de la participation de l’État (indice) |
Indice composite recouvrant : 1) la présence capitalistique de l’État, à savoir, le champ du secteur des entreprises publiques, l’engagement capitalistique de l’État dans les secteurs de réseaux, le contrôle direct d’entreprises industrielles et commerciales et la gouvernance des entreprises publiques ; 2) l’intervention dans les activités des entreprises, à savoir le contrôle des prix et l’utilisation d’une réglementation contraignante ; et 3) la conception et l’évaluation de la réglementation, à savoir l’évaluation des textes, la participation des parties prenantes et la complexité des procédures réglementaires. Sur une échelle de 0 – le moins restrictif – à 6 – le plus restrictif. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018. |
Indicateurs de l’OCDE sur la réglementation des marchés de produits |
Obstacles dans les secteurs des services/réseaux* |
Obstacles dans les secteurs des services/réseaux (indice) |
Élément de l’indice composite « Obstacles à l’entrée d’entreprises nationales et étrangères » qui mesure la protection réglementaire des entreprises en place, ex. : les obstacles juridiques à l’entrée ou les dérogations au droit de la concurrence. Sur une échelle de 0 – le moins restrictif – à 6 – le plus restrictif. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018. |
Indicateurs de l’OCDE sur la réglementation des marchés de produits |
Temps nécessaire à la discipline fiscale* |
Temps nécessaire à la discipline fiscale (en heures par année) |
Nombre d’heures nécessaires par exercice pour remplir les obligations liées à l’impôt sur le revenu des sociétés, les impôts liés à l’emploi et les cotisations obligatoires ainsi que la TVA et les taxes sur les ventes, pour une entreprise standard du pays, de taille moyenne. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018. |
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Efficience de la gouvernance publique |
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Dette des administrations publiques* |
Dette des administrations publiques (en % du PIB) |
La dette brute des administrations publiques (tous niveaux d’administration) est exprimée en pourcentage du PIB. On définit généralement la dette comme l’ensemble des passifs qui font obligation à un débiteur de verser à un créancier des intérêts ou du capital à une ou plusieurs dates futures. Tous les instruments de la dette sont donc des passifs, mais certains passifs, tels que les actions, les participations et les produits financiers dérivés, ne sont pas des dettes. On obtient donc le montant de la dette en additionnant les éléments de passif suivants, pour autant qu’ils figurent au bilan financier des administrations publiques : numéraires et dépôts ; titres de créance ; crédits ; et autres engagements (c’est-à-dire les systèmes d’assurance, de pensions et de garanties standards, les autres comptes à payer, ainsi que, dans certains cas, les droits de tirage spéciaux (DTS). Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2016 à la dernière année pour laquelle des données sont disponibles. |
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Analyse d’impact de la réglementation |
Analyse d’impact de la réglementation (indice) |
Indicateur composite couvrant les textes législatifs selon quatre critères : 1) méthodologie de l’AIR ; 2) adoption systématique de l’AIR ; 3) transparence de l’AIR ; et 4) suivi et contrôle de la qualité de l’AIR. Sur une échelle de 0 (faible) à 4 (élevé). Les données se rapportent à 2014. |
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Participation en ligne |
Participation en ligne (indice EPI) |
Indice composite dérivé de l’Enquête des Nations Unies sur l’administration en ligne. Il ajoute une nouvelle dimension à l’Enquête en ciblant l’usage des services en ligne à l’appui de la fourniture d’information aux citoyens de la part de l’administration (« communication électronique d’informations »), des échanges avec les parties prenantes (« consultations en ligne ») et de la participation aux processus décisionnels (« participation en ligne à la décision »). L’évaluation qualitative est fondée sur la disponibilité et la pertinence des services participatifs accessibles sur les sites internet des administrations. Sur une échelle de 0 (faible) à 1 (élevé). Les données se rapportent à 2018. |
Enquête 2018 des Nations Unies sur la participation en ligne |
Données publiques ouvertes |
Données publiques ouvertes (indice) |
Indice sur les données publiques ouvertes, utiles et réutilisables. Indice composite qui mesure les efforts des pouvoirs publics visant à promouvoir la disponibilité et de l’accessibilité des données, et à encourager la réutilisation des données à l’extérieur et à l’intérieur des administrations. Fondé sur les principes de la Charte internationale sur les données ouvertes et sur la méthodologie décrite dans Ubaldi, 2013 (http://dx.doi.org/10.1787/5k46bj4f03s7-en). Les données se rapportent à 2017. |
Tableau d’annexe 8.A.6. Conditions de marché
Marché intérieur |
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Demande intérieure approvisionnée par des fournisseurs nationaux |
Demande intérieure, part approvisionnée par des fournisseurs nationaux (%) |
Valeur ajoutée nationale intégrée dans la demande intérieure. Estimation de la demande finale du pays C pour les produits finaux et services du secteur I, ventilée en fonction de la valeur ajoutée provenant du secteur source J du pays d’origine S (à partir de EVA : Origine de la valeur ajoutée de la demande finale). Les données se rapportent à 2011. |
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Dette des sociétés non financières* |
Dette des sociétés non financières (en % du PIB) |
Passif des sociétés non financières, notamment droits de tirage spéciaux, numéraires et dépôts, titres de créance, crédits, asurances, pensions, et garanties standards, et autres comptes à payer, exprimé en poucentage du PIB. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Dette des ménages* |
Dette des ménages et des ISBLSM (en % du RBD) |
Passif des ménages et des institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM), notamment droits de tirage spéciaux, numéraires et dépôts, titres de créance, crédits, assurances, pensions et garanties standards, et autres comptes à payer, en pourcentage du revenu brut disponible. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Marchés publics |
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Vastes marchés publics |
Poids des marchés publics (% du PIB) |
Montant des dépenses des administrations publiques liées aux marchés publics en pourcentage du PIB. Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Fonctionnalités de passation électronique des marchés publics |
Fonctionnalités de passation électronique des marchés publics (indice) |
Indicateur composite couvrant les domaines suivants : 1) publication des appels d’offres ; 2) télétransmission des offres (hors courriers électroniques) ; 3) soumissions en ligne ; 4) notification d’attribution ; 5) dématérialisation des factures (hors courriers électroniques), 6) gestion de contrat ex post. Sur une échelle de 0 (faible) à 6 (élevé). Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Paiement des fournisseurs |
Paiement des fournisseurs (indice) |
Indicateur composite qui évalue : 1) la procédure de demande de paiement des fournisseurs ; 2) le délai de traitement du paiement par l’entité acheteuse ; 3) le délai de réception effective du paiement par les fournisseurs ; 4) les intérêts ou pénalités applicables en cas de retard de paiement. Sur une échelle de 0 (le cadre réglementaire présente d’importantes marges d’amélioration) à 100 (le cadre réglementaire est coïncide étroitement avec les bonnes pratiques internationalement reconnues). Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Analyse comparative des marchés publics (Benchmarking Public Procurement) de la Banque mondiale |
Échanges et investissement direct étranger |
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Participation en amont aux CVM |
Participation en amont aux CVM |
Correspond à la part de valeur ajoutée étrangère contenue dans les exportations d’un pays, en % du total des exportations brutes du pays exportateur. Les données se rapportent à 2009 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Science, technologie et industrie : Tableau de bord de l'OCDE 2017 |
Participation en aval aux CVM |
Participation en aval aux CVM |
Correspond à la part de valeur ajoutée contenue dans les exportations d’un pays partenaire commercial, en % des exportations nationales brutes. Les données se rapportent à 2009 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Science, technologie et industrie : Tableau de bord de l'OCDE 2017 |
Restrictions aux échanges : services informatiques* |
Indice de restrictivité des échanges de services (IRES), services informatiques |
Indice composite qui mesure les restrictions pesant sur les échanges de services selon cinq critères : 1) restrictions à l’entrée d’acteurs étrangers ; 2) restrictions à la circulation des personnes ; 3) obstacles à la concurrence ; 4) transparence de la réglementation ; et 5) autres mesures discriminatoires. Sur une échelle de 0 – secteur totalement ouvert – à 1 – secteur complètement fermé. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2018 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Restrictions aux échanges : ingénierie* |
IRES, services d’ingénierie |
idem |
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Restrictions aux échanges : services de télécommunications* |
IRES, services de télécommunications |
idem |
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Obstacles à la facilitation des échanges* |
Obstacles à la facilitation des échanges (indice) |
Rend compte de la reconnaissance des réglementations étrangères, de l’application des normes internationales et de la transparence internationale de la réglementation nationale. Échelle de 0 – les moins restrictifs – à 6 – les plus restrictifs. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2013 à la dernière année pour laquelle des données sont disponibles. |
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Restrictivité de la réglementation de l’IDE* |
Indice de restrictivité de la réglementation de l’IDE |
Mesure les restrictions légales pesant sur l’investissement direct étranger. L’indice porte sur quatre types de mesures : i) les restrictions aux participations ; ii) les critères de filtrage et obligations d’approbation ; iii) limites fixées à la présence d’étrangers aux postes clés ; et iv) d’autres restrictions opérationnelles (limites à l’acquisition de terrains ou au rapatriement de bénéfices et de capitaux). Sur une échelle de 0 (aucune restriction réglementaire à l’IDE dans le secteur) à 1 (restrictions à l’investissement étrangers dans le secteur). Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
Tableau d’annexe 8.A.7. Infrastructures
Logistique et énergie |
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Investissement dans les transports intérieurs |
Investissement total dans les transports intérieurs (en % du PIB) |
Mesure les dépenses d’investissement et d’entretien axées sur les infrastructures ferroviaires, routières et les voies navigables intérieures : dépenses de construction de nouvelles infrastructures et dépenses liées au développement, à la reconstruction, à la rénovation et aux grosses réparations des infrastructures existantes. Par millier d’unités de PIB en USD courants. Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Performance logistique internationale |
Performance logistique internationale (indice LPI) |
Rend compte de l’évaluation de huit marchés sur six dimensions essentielles des échanges : 1) efficacité du processus de dédouanement par les organismes de contrôle aux frontières ; 2) qualité de l’infrastructure commerciale et des transports (ports, aéroports, routes, chemins de fer, entreposage et transbordement, et TIC) ; 3) facilité à obtenir des prix compétitifs sur les expéditions ; 4) compétence et qualité des services logistiques ; 5) capacité de suivre et de retrouver les envois ; et 6) fréquence à laquelle les expéditions atteignent leur destinataire dans les délais fixés. Les marchés sélectionnés correspondent aux premiers marchés d’exportation et d’importation du pays répondant (sélection aléatoire), et, pour les pays enclavés, aux pays voisins qui les relient aux marchés internationaux. Sur une échelle de 1 (faible) à 5 (élevé). Les données se rapportent à 2018 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles.. |
Banque mondiale – Enquête sur l’indice de la performance logistique (international) |
Capacité électrique |
Capacité électrique (MWe / PIB) |
Somme de la capacité maximale de chacune des centrales disponibles pour fonctionner sans discontinuer pendant une période d’exploitation prolongée sur une journée. Ensemble des centrales. Exprimée en Mwe par million d’unités de PIB. Données les plus récentes : 2014. |
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Prix de l’électricité appliqué à l’industrie* |
Prix de l’électricité appliqué à l’industrie (USD/unité) |
Prix de l’énergie appliqués à l’industrie, prix facturés au consommateur final, taxes comprises, en USD/unité, à PPA. Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Fiabilité de l’approvisionnement électrique |
Fiabilité de l’approvisionnement électrique et transparence des tarifs (indice) |
Mesure la durée et la fréquence des pannes de courant dans la plus grande métropoles d’affaires, à l’aide de l’indice SAIDI qui mesure la durée moyenne des coupures de courant, et de l’indice SAIFI qui mesure leur fréquence moyenne. L’indice SAIDI indique la durée totale moyenne des coupures sur une année pour chaque consommateur final, tandis que l’indice SAIFI indique le nombre moyenne d’interruptions de service par consommateur final et par an. L’indice est noté de 0 à 8, les valeurs les plus élevées indiquant une plus grande fiabilité de l’approvisionnement électrique et une plus grande transparence des tarifs. Les données se rapportent à 2018. |
Doing Business (Banque mondiale) - Raccordement à l'électricité |
TIC et internet |
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Investissements en TIC |
Investissements en TIC (en % du PIB) |
Formation brute de capital fixe en équipement TIC, y compris matériel informatique et de télécommunications, logiciels et bases de données (à partir de SNC 2008). Les données se rapportent à 2016 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles.. |
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Pénétration du haut débit fixe |
Abonnements au haut débit fixe (pour 100 habitants) |
Mesure le nombre total d’abonnements et d’abonnements à la fibre/LAN (pour 100 habitants) au haut débit fixe. Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Pénétration du haut débit mobile |
Abonnements au haut débit mobile (pour 100 habitants) |
Mesure le nombre d’abonnements au haut débit mobile standard et dédiés à la transmission de données (pour 100 habitants). Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Prix d’un panier haut débit fixe* |
Prix d’un panier haut débit fixe (en USD) |
Prix d’un panier haut débit fixe (panier de 20GB, petits usagers, en USD à PPP). Cet indicateur étant considéré comme représentatif d’un obstacle potentiel aux performances des PME, la lecture de la comparaison internationale est inversée (et le critère est signalé par une astérisque). Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles. |
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Sécurité numérique |
Atteintes à la sécurité numérique dans les entreprises (en %) |
Part des entreprises (par taille) subissant des atteintes à la sécurité numérique (par taille d’entreprise). Les données se rapportent à 2010. |
Base de données OCDE sur l'usage des TIC par les entreprises |
R&D et innovation |
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Intensité de R-D |
Dépenses brutes de R-D (en % du PIB) |
Intensité de dépenses intérieures brutes de R-D (DIRD), en % du PIB. Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles.. |
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Brevets internationaux (IP5) |
Familles de brevets IP5 (par unité de PIB) |
Mesure la qualité de la production scientifique et technologique. Les familles de brevets IP5 désignent les brevets déposés auprès d’au moins deux offices de la propriété intellectuelle (IP) dans le monde, dont l’un doit faire partie des cinq offices de la propriété intellectuelle que sont l’Office européen des brevets (OEB), l’Office japonais des brevets (OJB), l’Office coréen des brevets (KIPO), l’Office des brevets et des marques des États-Unis (USPTO) et l’Office national de la propriété intellectuelle de la République populaire de Chine (SIPO). Nombre de familles de brevet IP5, par date de dépôt et pays de résidence du déposant. Nombre moyen de brevets IP5 déposés au cours des trois dernières années pour lesquelles des données sont disponibles, en unités de PIB de la dernière année pour laquelle des données sont disponibles Les données se rapportent à 2013-16. |
STI Micro-data Lab : base de données de l'OCDE sur la propriété intellectuelle |
Liens entre science et industrie |
Liens entre science et industrie (en % des DIRD) |
Somme des dépenses de l’enseignement supérieur et des dépenses publiques en matière de R-D financées par les entreprises, en pourcentage des dépenses intérieures brutes de R-D (DIRD). Les données se rapportent à 2017 ou à l’année la plus proche pour laquelle des données sont disponibles.. |
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Réseaux interrégionaux de co-brevetage |
Réseaux de co-brevetage, niveau interrégional, (en % du co-brevetage total) |
Demandes de brevets au niveau régional faisant intervenir des co-inventeurs d’une autre région du même pays, sur la base du nombre de demandes PCT, en pourcentage du co-brevetage total. Les données se rapportent à 2010-12. |
Panorama des régions 2016 de l’OCDE |
Réseaux internationaux de co-brevetage |
Brevets avec co-inventeurs étrangers (en % du total des brevets IP5) |
Part des demandes de brevet dont au moins l’un des co-inventeurs est situé dans un autre pays, dans le nombre total de brevets nationaux. Les données se rapportent aux familles de brevet IP5, par première date de dépôt et selon le pays de résidence de l’inventeur par comptage fractionnaire. Seuls les pays dans lesquels plus de 100 brevets ont été déposés en 2013-16 sont pris en compte. Les données se rapportent à 2013-16. |
STI Micro-data Lab : base de données de l'OCDE sur la propriété intellectuelle |
Annexe 8.B. Sources et références générales
CE (2017), Base de données des politiques relatives aux PME, Commission européenne, https://ec.europa.eu/growth/smes/business-friendly-environment/performance-review_en#interactive-sme-database.
CE/OCDE (2018), STIP Compass, Base de données internationale des politiques en matière de STI, https://stip.oecd.org/stip.html.
CE/OCDE (2018), EC/OECD STIP Database 2018, https://stip.oecd.org/stip.html.
OCDE (2019), Perspectives de l'emploi de l'OCDE 2018, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/g2g9ed68-fr.
OCDE (2019), Financing SMEs and Entrepreneurs 2019: An OECD Scoreboard, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/fin_sme_ent-2019-en.
OCDE (2018), « Indicateurs de l'entrepreneuriat », Statistiques structurelles et démographiques des entreprises (base de données), pour le graphique D.
OCDE (2018), Education Policy Outlook 2018: Putting Student Learning at the Centre, Éditions OCDE, Paris, http://dx.doi.org/10.1787/9789264301528-en.
OCDE (2018), Final Summary Record of the 52nd Session of the OECD Working Party on SMEs and Entrepreneurship (WPSMEE), 23-24 avril 2018, document interne, CFE/SME/M(2017)2/FINAL.
OCDE (2018), Financing SMEs and Entrepreneurs 2018: An OECD Scoreboard, Éditions OCDE, Paris, http://dx.doi.org/10.1787/fin_sme_ent-2018-en.
OCDE (2018), Perspectives de l’économie numérique de l’OCDE 2017, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264282483-fr.
OCDE (2018), Science, technologie et innovation : Perspectives de l'OCDE 2016, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/sti_in_outlook-2016-fr.
OCDE (2018), Statistiques structurelles et démographiques des entreprises (base de données), pour les graphiques A, B, C, E, F et G.
OCDE (2017), Panorama de l'entrepreneuriat 2017, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/entrepreneur_aag-2017-fr.
OCDE (2017), Panorama des administrations publiques 2017, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/gov_glance-2017-fr.
OCDE (2017), Perspectives de l'OCDE sur les compétences 2017: Compétences et chaînes de valeur mondiales, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264203433-fr.
OCDE (2017), Small, Medium, Strong. Trends in SME Performance and Business Conditions, Éditions OCDE, Paris, http://dx.doi.org/10.1787/9789264275683-en.
OCDE (2016), Perspectives de l'OCDE sur la politique de la réglementation 2015, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264245235-fr.
OCDE/UE (2017), The Missing Entrepreneurs 2017: Policies for Inclusive Entrepreneurship, Éditions OCDE, Paris, http://dx.doi.org/10.1787/9789264283602-en.