Les terroristes et les extrémistes violents exploitent les services de partage de contenu en ligne pour mener un large éventail d’activités, depuis l’incitation, la radicalisation et le recrutement, jusqu’à la formation, la planification, le partage d’instructions et le financement. De telles activités ont conduit à plusieurs attaques au cours des dernières années, comme celles de Christchurch (Nouvelle-Zélande), Baerum (Norvège), Halle (Allemagne), Buffalo (États-Unis) et Bratislava (Slovaquie).
Les informations et les données nécessaires pour comprendre la nature, l’étendue et la portée de la menace des TVEC sont dispersées, opaques et en grande partie entre les mains du secteur privé. Une base de données plus organisée et plus solide est nécessaire pour mieux éclairer l’élaboration des politiques en matière des TVEC et pour élaborer les politiques les plus efficaces pour les contrer.