Les institutions sociales discriminatoires que sont les lois formelles et informelles, normes et pratiques sociales, restreignent les droits et les opportunités d’autonomisation des femmes dans les 17 pays d’Afrique de l’Ouest. De nouvelles lois et mesures sur les droits des femmes et la parité se sont accompagnées de progrès sensibles. Cependant, les institutions sociales discriminatoires continuent à contraindre l’accès des femmes aux ressources productives, à favoriser les atteintes à leur intégrité physique et à restreindre leur pouvoir décisionnel dans les sphères privée et publique. Cela entrave l’accès à l’éducation et aux opportunités économiques des femmes et des filles, réduisant ainsi le potentiel de développement des pays. Les analyses basées sur l’indicateur Institutions sociales et égalité femme-homme (SIGI) du Centre de développement de l’OCDE fournissent aux décideurs politiques et acteurs du développement des éléments probants nécessaires à la conception de politiques et de programmes plus efficaces. Placer les institutions sociales au cœur des réponses politiques ouvre des perspectives nouvelles et durables de promotion de l’égalité femmes-hommes dans les stratégies de développement nationales et régionales.
Les inégalités de genre dans les institutions sociales ouest-africaines
Document de travail
Notes ouest-africaines
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Résumé
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