L’OCDE tient à remercier Sara Batmanglich, Cora Berner, Roberto Schiano Lomoriello et Rachel Scott, qui sont les auteurs de ce rapport, hormis pour ce qui concerne les grandes tendances. Dix de ces 12 tendances ont été rédigées par des auteurs invités. Nous sommes reconnaissants aux personnes suivantes d’avoir mis leur expertise au service de ce rapport : Richard Gowan (Université des Nations Unies), Robert Muggah (Igarapé Institute), Phil Vernon (consultant indépendant), Duncan Green (London School of Economics), Seth Kaplan (Paul H. Nitze School of Advanced International Studies à l’Université Johns Hopkins), Henri Myrttinen (International Alert), Rebecca Wolfe (Mercy Corps et Yale University), Mark Shaw (Global Initiative Against Transnational Organized Crime), Janani Vivekananda (adelphi) et Robert Lamb (Foundation for Inclusion). La conceptualisation du rapport est à mettre au compte de Sara Batmanglich, Cora Berner et Roberto Schiano Lomoriello, avec l’assistance de Julia Kaufmann et sous la conduite et la supervision de Rachel Scott et Nadine Gbossa.
Par ailleurs, nous adressons nos sincères remerciements à David Hammond (Institute for Economics and Peace), qui a agi en qualité de consultant externe senior sur le Cadre sur la fragilité et la méthodologie y afférente ; ainsi qu’à Yasmin Ahmad, Elena Bernaldo de Quirós, Pierre Blanchard et Andrzej Suchodolski (OCDE), qui ont formulé des conseils sur l’analyse et les statistiques du CAD. Nous sommes également très reconnaissants à tous les auteurs de contributions pour les encadrés : Irene Basile (OCDE) ; Lisa Andersson (OCDE) ; Ronaldo Avendano, El Iza Mohamedou, Yu Tian et Koffi Zougbede (Paris 21) ; Joseph Stead (OCDE) ; Catherine Anderson, Claire Naval et François De Block (OCDE) ; Julia Benn, Valérie Gaveau et Giorgio Gualberti (OCDE) ; Tomas Hos et Cécile Sangaré (OCDE) ; Fairlie Chappuis (Centre pour le contrôle démocratique des forces armées de Genève) ; Rebecca Richards (Programme alimentaire mondial) ; Troels Sorensen et Albert Mafusire (Banque africaine de développement) ; et Jonathan Papoulidis (World Vision et Université Stanford).
Les membres du Réseau international du CAD-OCDE sur les situations de conflit et de fragilité (INCAF) ont apporté leurs conseils et commentaires sur les questions de fond dès la phase de conception, et le fait que cette série de rapports soit produite sous leur tutelle constitue toujours un véritable atout. Le rapport a également grandement bénéficié des résultats d’un atelier qui s’est déroulé en mars 2018 à Washington, D.C., dont nous remercions les participants. Un remerciement tout particulier est adressé aux membres éminents de notre groupe de référence, qui nous ont orientés tout au long de ce processus : David Korpela (Finlande, ministère des Affaires étrangères), Sidney Leclercq (ACROPOLIS), Diana Klein (Royaume-Uni, ministère du Développement international), Duncan Green (London School of Economics), Alexandre Marc (Banque mondiale), Gary Milante (Stockholm International Peace Research Institute), Marcus Lenzen (Bureau d’appui à la consolidation de la paix, Nations Unies), Mareike Schomerus (Secure Livelihoods Research Programme/Overseas Development Institute), Emily Rainey (Australie, ministère des Affaires étrangères et du Commerce), Martin Roch et Nils Rosemann (Direction du développement et de la coopération de la Suisse), Eirin Mobekk (Agence norvégienne de coopération pour le développement) et Pedro Conceição (Programme des Nations Unies pour le développement). Les auteurs sont seuls responsables de toute erreur ou omission éventuelle.
Alan Whaites, Jorge Rivera, Cyprien Fabre et Hugh Macleman ont formulé des commentaires et observations additionnels à des étapes clés. La révision du document a été assurée par Susan Sachs et sa relecture par Jill Gaston (version anglaise) et Sophie Alibert (version française). La maquette et la représentation graphique des données ont été réalisées par Soapbox Graphics. Stacey Bradbury et Anne‑Lise Prigent ont apporté leur concours tout au long du processus de production à l’OCDE.
Ce projet a été généreusement cofinancé par le ministère des Affaires étrangères et du Commerce (DFAT) d’Australie, Affaires mondiales Canada, l’Agence française de développement (AFD), Irish Aid, la Direction du développement et de la coopération (DDC) de la Suisse et le ministère du Développement international (DFID) du Royaume‑Uni.