Le Burkina Faso prend actuellement des mesures destinées à mettre en place le cadre de transparence et à engager les procédures administratives nécessaires pour que l’échange des renseignements sur les décisions anticipées soit effectué en temps voulu et conformément aux termes de référence (OCDE, 2021[1]) (TdR). Deux recommandations ont été adressées au Burkina Faso concernant le processus de collecte de renseignements (TdR I.A) et l’échange de renseignements (TdR II.B) durant l’année 2022 (l’année examinée).
Pour l’examen par les pairs de l’années 2017, 2018 et 2019, il avait été établi que le Burkina Faso ne pouvait pas rendre des décisions anticipées visées par le cadre de transparence du fait de l’absence de processus administratif nécessaire pour rendre ces décisions contraignantes au sein de l’administration fiscale. Le processus administratif a été mis en place en 2020.
Les rapports d’examen par les pairs de l’année précédente, ainsi que celui de 2020, contenaient deux recommandations à l’intention du Burkina Faso. Comme elles n’ont pas été suivies d’effets, ces deux recommandations restent en vigueur.
En vertu de sa législation, le Burkina Faso peut rendre des décisions visées par le cadre de transparence qui relèvent de quatre catégories.
Dans les faits, on ignore si le Burkina Faso a rendu des décisions visées par le cadre de transparence.
Aucune contribution des pairs n’a été reçue concernant les échanges de renseignements relatifs aux décisions réalisés avec le Burkina Faso.