Cette publication est le résultat d’un processus participatif de recherche. Un grand nombre de parties prenantes ayant une expertise sur l’autonomisation économique des femmes dans les pays de la région MENA y ont contribué. Il s’agit d’un effort conjoint de l’OCDE, du Centre de la femme arabe pour la formation et la recherche (CAWTAR) et de l’Organisation internationale du travail (OIT).
Le rapport a été élaboré dans le cadre du Forum MENA-OCDE pour l’autonomisation économique des femmes, sous la direction d’Andreas Schaal, directeur du Secrétariat des relations mondiales de l’OCDE. Il a également bénéficié du leadership, de la supervision et du soutien de Gabriela Ramos, directrice du Cabinet du Secrétaire-général et sherpa de l’OCDE auprès du G20.
À l’OCDE, Charlotte Goemans a dirigé le projet et rédigé le rapport sous la direction stratégique de Carlos Conde, chef de la division Moyen-Orient et Afrique. Carlos Conde a fourni des conseils sur la conceptualisation et le cadre analytique de cette étude. Vanessa Berry-Chatelain a aidé à la rédaction du rapport et apporté des points de vue éclairés tout au long du processus. Les consultantes Nora Alim et Farah El Barnachawy ont effectué des recherches et des analyses sur la législation et la jurisprudence des quatre pays couverts par la publication. Sabrina Gasparrini a apporté son soutien à la rédaction et a fourni des conseils stratégiques. Yasmina Aziki, Elise Jelsma, Sara Mouhoud, Lynda Kokui Zanu, Meryam El Bouhati, Peilin Lu et Yasmeen Moreau ont apporté un précieux soutien en matière de recherche et de rédaction. Peilin Lu a conçu l’infographie. Cette publication s’inspire du rapport de l’OCDE de 2017, L’autonomisation économique des femmes dans la région MENA : l’impact des cadres juridiques algérien, égyptien, jordanien, libyen, marocain et tunisien. Le rapport de 2017 a été dirigé par Nicola Ehlermann, qui a fourni des conseils sur les premières étapes du rapport actuel.
Dr Soukaina Bouraoui, directrice exécutive du CAWTAR, a fourni des conseils et une orientation stratégique.
À l’OIT, Eric Oechslin, directeur du Bureau de l’OIT au Caire et de l’équipe Travail décent pour l’Afrique du Nord, a fourni une vue d’ensemble générale. Les membres du personnel de l’OIT suivants ont participé à la rédaction et/ou à l’examen par les pairs de la publication : Ines Ayari, conseillère technique en chef, Travail décent pour les femmes, Bureau de l’OIT au Caire, équipe Travail décent pour l’Afrique du Nord ; Coen Kompier, spécialiste senior des normes internationales du travail, équipe Travail décent pour l’Afrique du Nord ; le Bureau de l’OIT au Caire et Valeria Esquivel, spécialiste des politiques de l’emploi et de l’égalité hommes-femmes, Direction des politiques de l’emploi et des marchés du travail, OIT. Fatma Alrazzaz, professeur de droit social et doyenne de la faculté de droit de l’université de Helwan, a fourni une présentation des réformes juridiques et politiques en faveur de l’autonomisation économique des femmes en Égypte.
L’équipe de la publication exprime sa sincère gratitude aux co-présidents du Forum MENA-OCDE pour l’autonomisation économique des femmes (FAEF), le Dr Sahar Nasr, ancienne ministre égyptienne de l’Investissement et de la Coopération internationale, et S.E. Marie-Claire Swärd Capra, ambassadrice de Suède en Algérie, pour leur engagement et leur soutien. Les participants aux FAEF 2017 et 2018 ont fourni des informations et des points de vue importants qui ont été intégrés à la publication. L’équipe souhaite remercier Neziha Labidi, ancienne ministre tunisienne de la Femme, de la Famille, des Enfants et des Seniors ; Mohammad Naciri, ancien directeur du Bureau régional de l’ONU Femmes pour les États arabes ; Eva Johansson, conseillère principale en matière de politique de genre à l’Agence suédoise de coopération internationale pour le développement (Sida) ; et Nickie Monga, directrice nationale d’Oxfam en Jordanie pour avoir co-organisé et participé à l’événement parallèle à la 63ème Commission de la condition de la femme. Cet événement parallèle a permis de discuter de l’importance des réformes législatives pour soutenir l’autonomisation économique des femmes dans la région MENA et a fourni des informations utiles pour la publication.
L’équipe en charge de la publication tient à remercier toutes les personnes qui ont répondu aux questionnaires envoyés pour les besoins de cette étude. Des entretiens approfondis pour la publication ont été réalisés en Égypte, en Jordanie, au Maroc et en Tunisie. L’annexe A détaille les principaux contributeurs par pays.
Une équipe d’évaluateurs a passé en revue le rapport dans le cadre d’un examen par les pairs. Des commentaires et contributions ont été fournis par Capitolina Díaz, professeur de sociologie et présidente de l’Association des femmes chercheurs et technologistes ; Nayda Almodovar-Reteguis, Banque mondiale ; Katrin Schulz, Banque mondiale ; Julia Braunmiller, Banque mondiale ; Nour Chamseddine, Banque mondiale ; Samaa Haridi, Hogan Lovells, Coral Hill, The School of Law ; Ilham Kabbouri, Hogan Lovells ; Hayet Khaled, responsable de la coopération multilatérale, ministère tunisien de la Femme, de la Famille, de l’Enfance et des Seniors ; Moushira Khattab, ancienne ministre égyptienne de la Famille et de la Population ; Sue Millar, Stephenson Harwood et Lizzette Robleto de Howarth, The Law Society of England and Wales ; et Suzanne Szczetnikowicz, Millbank LLP.
Des experts de l’OCDE ont également relu ce rapport. William Thompson a été le principal examinateur du rapport. Mariarosa Lunati a fourni des conseils et des orientations stratégiques, en particulier sur les approches statistiques. Des commentaires et suggestions ont également été apportés par Willem Adema, Miriam Allam, Pierre de Boisséson, Chris Clarke, Gaelle Ferrant, Jonas Fluchtmann, Regina Gallego, Alessandro Goglio, Pinar Guven, Sarah Hermanutz, Estelle Loiseau, Alejandra Maria Meneses, Scherie Nicol, Hyeshin Park, Lorenzo Pavone, Roula Sylla, Tatyana Teplova et Lisa Williams. Fiona Hinchcliffe a corrigé la publication.
Le rapport a bénéficié du concours financier de l’Agence suédoise de coopération internationale au développement (Sida).