Le capital humain désigne les connaissances, les aptitudes, les compétences et l'état de santé des individus, qui sont considérés ici dans la perspective de leur contribution au bien-être futur. Les résultats des pays de l'OCDE en matière de capital humain sont mitigés. Des progrès ont été accomplis en termes d'élévation du niveau de formation des jeunes, mais d'amples écarts subsistent entre pays. La sous-utilisation de la main-d'œuvre, qui menace le capital humain, dans la mesure où elle entraîne une dégradation des compétences, s'est améliorée depuis 2010 pour la plupart des pays de l'OCDE. Un seul pays a connu une augmentation de la mortalité prématurée au cours des dix dernières années. En termes de risque pour la santé future, la prévalence du tabagisme a régulièrement diminué depuis 2005 dans tous les pays de l'OCDE sauf deux. Néanmoins, l'obésité demeure un risque majeur pour le capital humain, la grande majorité des pays de l'OCDE ayant connu une hausse des taux d'obésité au cours de la même période.
Comment va la vie ? 2020
15. Capital humain
Abstract
Niveau d'études des jeunes adultes
Le niveau d'études des jeunes adultes correspond au stock de connaissances et de compétences dont disposeront probablement les générations futures. La proportion de jeunes adultes (âgés de 25 à 34 ans) ayant au moins achevé le deuxième cycle de l'enseignement secondaire a augmenté dans la majorité des pays de l'OCDE au cours des quatre dernières années (Graphique 15.2). La moyenne de l'OCDE s'établissait à 84.9 % en 2018, sachant que ce chiffre dissimulait de fortes disparités, puisque cet indicateur était supérieur à 95 % en Corée et en Fédération de Russie, inférieur à 70 % en Turquie, en Espagne et en Colombie, et égal à 50 % au Mexique.
Depuis 2014, le taux de diplômés du deuxième cycle de l'enseignement secondaire parmi les jeunes adultes a augmenté de 2 points de pourcentage en moyenne dans la zone OCDE. Certaines des améliorations les plus marquées ont eu lieu dans les pays qui étaient les plus éloignés de la moyenne de l'OCDE en 2014, ce qui a réduit les écarts entre pays dans ce domaine. Ainsi, cet indicateur a augmenté de 7.7 points de pourcentage en Turquie, de 6.9 points au Portugal et de 6.8 points en Islande. À l'inverse, les baisses les plus fortes ont été observées au Royaume-Uni (de l'ordre de 1.3 point de pourcentage), suivi par l'Autriche (1.1 point).
Taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre
Le taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre est la proportion de la main-d'œuvre qui est soit au chômage, soit sous-employée (comme les personnes qui ont un emploi à temps partiel subi), soit découragée (c'est-à-dire les personnes ne faisant pas partie de la population active qui souhaitent travailler et sont disponibles pour le faire, mais n'ont pas activement cherché un emploi au cours des quatre semaines précédentes). Cet indicateur offre donc une vision plus large de la privation d'emploi et des potentialités inexploitées que le seul taux de chômage, sachant que les taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre sont en général 1.5 à 4 fois supérieurs au taux de chômage classique. On observe d'amples écarts de sous-utilisation de la main-d'œuvre entre pays de l'OCDE (Graphique 15.3), la différence étant par exemple de plus 24 points de pourcentage entre la Grèce (où le taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre est supérieur à 27 %) et la République tchèque (où il n'est que de 3.6 %).
Le taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre s'est amélioré dans tous les pays de l'OCDE sauf cinq depuis 2010 (Graphique 15.4), et parmi ceux-ci, deux seulement (l'Italie et la Grèce) ont enregistré une dégradation de plus d'un point de pourcentage. C'est en Lettonie que l'amélioration la plus nette a été observée, puisque le taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre y a diminué de 18.8 points de pourcentage.
Mortalité prématurée
Le nombre d'années potentielles de vie perdues (APVP) est une mesure de la mortalité prématurée due à diverses pathologies ou à des accidents mortels. Parmi les pays de l'OCDE, la Suisse, le Japon, le Luxembourg et la Norvège ont les taux de mortalité prématurée les plus bas, puisqu'ils sont inférieurs à 3 200 années perdues pour 100 000 habitants, tandis que la Lettonie et le Mexique affichent les taux les plus élevés (8 733 et 8 661, respectivement), qui sont près de trois fois supérieurs à ceux des pays affichant les meilleurs résultats (Graphique 15.5). Le taux de mortalité prématurée s'est amélioré dans la plupart des pays de l'OCDE au cours des dix dernières années, les baisses les plus marquées du nombre d'années potentielles de vie perdues ayant eu lieu en Lituanie (où il a reculé de 24 %), en Corée (22 %), au Luxembourg (19 %) et en Finlande (18 %). À l'inverse, le taux de mortalité prématurée a augmenté de 5 % aux États-Unis. En dehors des pays de l'OCDE, l'Afrique du Sud a connu une amélioration très marquée (une baisse de près de 28 %) entre 2010 et 2015.
Prévalence du tabagisme
Le tabagisme est un facteur de risque pour le capital humain, dans la mesure où il dégrade l'état de santé futur des individus, puisque cette pratique est liée à des cas de cancer, de maladie cardiaque, de problèmes respiratoires et de malformation congénitale. Dans les pays de l'OCDE, en moyenne, 19 % de la population déclare fumer au moins une fois par jour. En Grèce, en Turquie et en Hongrie, plus d'un quart de la population fume quotidiennement, tandis qu'au Mexique et en Islande, cette proportion est inférieure à 10 %. Depuis 2005, c'est généralement dans les pays relativement bien placés à l'aune de cet indicateur que la proportion de fumeurs a diminué le plus. Le recul le plus marqué a été observé en Norvège (13 points de pourcentage), suivie par la Grèce (12.7 points), l'Estonie, la Nouvelle-Zélande et le Danemark (10.6, 9.4 et 9.1 points, respectivement). Parmi tous les pays figurant dans le Graphique 15.6, le Costa Rica est celui où la prévalence du tabagisme quotidien est la plus faible (à 4 %), sachant que la proportion de fumeurs y a diminué de plus de moitié depuis 2005. Seules l'Autriche et la République slovaque ont connu une augmentation du taux de tabagisme depuis 2005 (de 1.1 et 3.4 points de pourcentage, respectivement).
Le taux de tabagisme est plus élevé chez les hommes que chez les femmes dans tous les pays de l'OCDE sauf un : l'Islande (Graphique 15.7). La Corée est le pays où l'écart entre hommes et femmes est de loin le plus ample, puisque la proportion de fumeurs parmi les premiers est plus de neuf fois supérieure à la proportion de fumeuses parmi les secondes. Le Japon, la Lituanie, le Mexique et la Turquie se caractérisent également par une différence importante entre les sexes, la prévalence du tabagisme étant plus de trois fois plus élevée chez les hommes que chez les femmes.
Prévalence de l'obésité
L'obésité constitue un autre risque majeur pesant sur le capital humain : elle accentue le risque de maladie cardiaque, de diabète et de certains types de cancer. Une personne sur cinq est obèse dans les pays de l'OCDE en moyenne (l'obésité étant définie par un indice de masse corporelle supérieur ou égal à 30). Les différences entre pays sont considérables (Graphique 15.8), la prévalence de l'obésité variant de 5 % ou moins en Corée et au Japon à plus de 40 % aux États-Unis (OCDE, 2017[1]).
Au cours des 15 dernières années, le taux d'obésité a augmenté dans la plupart des pays de l'OCDE. Parmi les 27 pays pour lesquels on dispose de séries chronologiques, aucun n'a enregistré une baisse du taux d'obésité, et 2 seulement ont vu cet indicateur se maintenir au même niveau (l'Irlande et la France). C'est au Chili que la prévalence de l'obésité a enregistré la hausse la plus forte, augmentant de 9.3 points de pourcentage. Les pays caractérisés par les taux d'obésité les plus élevés ont aussi connu certaines des hausses les plus marquées des 15 dernières années, ce qui laisse à penser que ce phénomène s'aggrave au lieu de se stabiliser. Même des pays affichant une prévalence de l'obésité relativement faible – comme la Suisse, la Norvège, la Suède et la Corée – l'ont également vu augmenter au cours de la dernière décennie.
S'agissant des écarts de prévalence de l'obésité entre hommes et femmes dans les pays de l'OCDE, le tableau est nuancé. Le taux d'obésité est plus élevé chez les hommes que chez les femmes dans 15 pays (l'écart étant de 20 % en Suisse, en Slovénie et en Italie). À l'inverse, la prévalence de l'obésité est plus forte parmi les femmes que parmi les hommes dans 19 pays de l'OCDE, les écarts les plus marqués étant observés en Turquie et en Colombie.
Encadré 15.1. Mesure et programme statistique à venir
Le capital humain désigne globalement les aptitudes, les compétences (qui recouvrent à la fois l'éducation et les connaissances tacites) et l'état de santé des individus (OCDE, 2016[2]). Nombre de chercheurs et d'institutions utilisent aujourd'hui des définitions du capital humain qui mettent en avant son intérêt pour la production économique et la formation de revenu, en particulier au regard de l'importance que revêt la qualité de la main-d'œuvre (Boarini, Mira d’Ercole et Liu, 2012[3]). Au-delà des compétences techniques, le concept de capital humain s'est élargi pour intégrer des éléments de motivation et de comportement, ainsi que la santé physique, émotionnelle et mentale des individus (OCDE, 2010[4]). Tant la santé que l'éducation sont également des dimensions à part entière ayant une valeur intrinsèque, tout en contribuant de manière considérable à la concrétisation d'autres dimensions du bien-être (OCDE, 2011[5]).
Tableau 15.1. Indicateurs de capital humain examinés dans ce chapitre
Indicateur |
Unité de mesure |
Stock |
Flux |
Facteur de risque |
Facteur de résilience |
---|---|---|---|---|---|
Niveau d'études des jeunes adultes |
Pourcentage de personnes âgées de 25 à 34 ans ayant au moins achevé le deuxième cycle de l'enseignement secondaire |
✓ |
|||
Taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre |
Proportion de travailleurs au chômage, découragés ou sous-employés dans la main-d'œuvre totale |
✓ |
|||
Mortalité prématurée |
Années potentielles de vie perdues en raison de diverses pathologies et d'accidents mortels pour 100 000 habitants (données standardisées selon l'âge) |
✓ |
|||
Prévalence du tabagisme |
Pourcentage de personnes âgées de 15 ans ou plus déclarant fumer quotidiennement |
✓ |
|||
Prévalence de l'obésité |
Proportion de la population âgée de 15 ans ou plus en situation d'obésité, mesurée ou autodéclarée dans le cadre d'entretiens sur la santé |
✓ |
Le niveau d'études des jeunes adultes est mesuré par le pourcentage de personnes âgées de 25 à 34 ans ayant au moins achevé le deuxième cycle de l'enseignement secondaire. Autrement dit, il s'agit des personnes dont le niveau d'études est supérieur ou égal au niveau 3 de la Classification internationale type de l'éducation (CITE). Cette définition recouvre à la fois les programmes d'enseignement général destinés à préparer les élèves à l'enseignement supérieur et les programmes d'enseignement et de formation professionnels (EFP) (OCDE, 2018[6]). Les données sont tirées de la base de données de la publication de l'OCDE Regards sur l'éducation.
Le taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre vise à permettre d'appréhender les effets durables du sous-emploi des travailleurs disponibles en termes de réduction des compétences des individus et des possibilités de formation qui leur sont offertes. Ce taux est le ratio entre les chômeurs, les travailleurs découragés (c'est-à-dire les personnes ne faisant pas partie de la population active qui n'ont pas activement cherché un emploi au cours des quatre semaines précédentes, mais souhaitent travailler et sont disponibles pour le faire) et les travailleurs sous-employés (c'est-à-dire les travailleurs à temps plein ayant travaillé moins que la normale pendant la semaine de référence de l'enquête pour des raisons économiques et les travailleurs à temps partiel n'ayant pas trouvé de poste à temps plein alors qu'ils le souhaitaient), d'une part, et la main-d'œuvre totale, d'autre part. Cet indicateur offre donc une vision plus large de la privation d'emploi et des potentialités inexploitées que le seul taux de chômage. Les données sont tirées de la base de données de l'OCDE Tableau de bord sur les ménages.
La mortalité prématurée fait référence aux décès intervenant avant l'âge de 75 ans. Pour calculer le nombre d'années potentielles de vie perdues (APVP), on soustrait l'âge effectif de décès de chaque défunt de la limite d'âge retenue pour définir la mortalité prématurée (75 ans dans les calculs de l'OCDE), puis on multiplie le résultat par le nombre décès à chaque âge, et enfin, on ajoute ces produits pour tous les groupes d'âge afin d'obtenir un total global. Cette approche consiste donc implicitement à donner d'autant plus de poids à un décès que le défunt est jeune ; ainsi, dans le cas d'un nourrisson mourant au cours de sa première année d'existence, le nombre d'APVP est de 74 (75-1), tandis que pour une personne mourant à 74 ans, il est égal à 1 (75-74). Dans le cadre de l'élaboration de cet indicateur, on tient compte des différences de structure par âge de la population entre pays de l'OCDE (en appliquant à chacun d'eux la structure de population de l'ensemble de la zone OCDE), afin d'éviter d'obtenir des chiffres plus élevés pour les pays qui ont les mêmes taux de mortalité par âge que les autres mais une structure de population plus jeune (autrement dit, les données sont standardisées selon l'âge). Les données sont tirées de la base de données Statistiques de l'OCDE sur la santé.
La prévalence du tabagisme est le pourcentage de la population âgée de 15 ans ou plus qui fume quotidiennement. Cet indicateur ne tient compte ni de la quantité de tabac fumée, au-delà d'une cigarette par jour (OCDE, 2017[7]), ni du tabagisme passif ; il exclut également la consommation de tabac non fumé (comme la chique). Les données sont tirées de la base de données Statistiques de l'OCDE sur la santé.
L'obésité est définie à partir de l'indice de masse corporelle (IMC), un indicateur numérique fondé sur la taille et le poids d'un individu. Selon les normes de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), un adulte dont l'IMC est supérieur ou égal à 30 est considéré comme obèse. L'IMC est l'indicateur le plus couramment utilisé pour définir l'obésité, mais il présente des limites ; ainsi, pour des groupes ethniques différents, des niveaux de risque sanitaire équivalents peuvent correspondre à des valeurs d'IMC différentes (OCDE, 2018[8]). Les données sont tirées de la base de données Statistiques de l'OCDE sur la santé.
Corrélations entre les indicateurs de capital humain
Les corrélations entre les indicateurs de capital humain sont modérées à faibles, et ne sont pas statistiquement significatives dans un certain nombre de cas (Tableau 15.2). La principale exception à cet égard réside dans la corrélation entre le taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre et le niveau d'études des jeunes adultes : les pays où ce niveau d'études est plus élevé se caractérisent par un taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre plus bas. Pour l'ensemble de pays considéré, on n'observe pas de corrélation significative entre la prévalence du tabagisme et l'obésité.
Tableau 15.2. Les indicateurs utilisés dans ce chapitre reflètent différentes dimensions du capital humain
Coefficients de corrélation simple entre les indicateurs de capital humain
|
Niveau d'études |
Taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre |
Mortalité prématurée |
Prévalence du tabagisme |
Prévalence de l'obésité |
---|---|---|---|---|---|
Niveau d'études |
|||||
Taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre |
-0.48*** |
||||
(31) |
|||||
Mortalité prématurée |
-0.10 |
-0.29 |
|||
(39) |
(31) |
||||
Prévalence du tabagisme |
0.34** |
0.27 |
0.18 |
||
(38) |
(31) |
(38) |
|||
Prévalence de l'obésité |
-0.28 |
-0.10 |
0.27 |
-0.23 |
|
(36) |
(29) |
(36) |
(35) |
Note : Le tableau montre le coefficient de corrélation simple de Pearson ; les valeurs entre parenthèses correspondent au nombre d’observations (pays). * signale des corrélations significatives au niveau p<0.10 ; ** au niveau p<0.05, et *** au niveau p<0.01.
Programme statistique à venir
Le taux de diplômés du deuxième cycle de l'enseignement secondaire parmi les jeunes adultes n'est sans doute pas une mesure très sensible, étant donné que près de 40 % de la population adulte des pays de l'OCDE est titulaire d'un diplôme de l'enseignement supérieur. Il a été retenu comme indicateur en raison de la distinction qui prévaut dans les pays de l'OCDE entre enseignement supérieur et formation technique.
Le taux de sous-utilisation de la main-d'œuvre n'est pas nécessairement une mesure de privation, sachant que la façon dont une personne appartenant à la main-d'œuvre sous-utilisée emploie le temps dont elle dispose n'est pas forcément synonyme de perte de compétences. Ainsi, si un individu est sous-employé mais se consacre à des activités bénévoles, ou fournit des services à la personne non rémunérés, il contribue au bien-être d'autrui. Cette dimension n'est actuellement pas prise en compte dans le cadre de mesure du bien-être.
Les données sur l'obésité sont élaborées à partir de deux types d'enquête distincts : des enquêtes de santé par entretien (données autodéclarées) et des examens médicaux réalisés par des professionnels de la santé, qui sont jugés plus fiables (OCDE, 2017[7]). Cette disparité des sources de données rend difficile les comparaisons entre pays.
Le manque de séries chronologiques cohérentes et régulières pour un certain nombre d'indicateurs de capital humain, en particulier la prévalence de l'obésité et la prévalence du tabagisme, a rendu difficile la mesure des résultats dans le temps et pour les différents pays. Pour cette raison, l'évolution de l'obésité et celle du tabagisme sont mesurées dans ce chapitre sur les quinze dernières années, et non au cours de la dernière décennie.
Références
[3] Boarini, R., M. Mira d’Ercole et G. Liu (2012), « Approaches to Measuring the Stock of Human Capital : A Review of Country Practices », OECD Statistics Working Papers, n° 2012/4, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/5k8zlm5bc3ns-en.
[8] OCDE (2018), Comment va la vie ? 2017 : Mesurer le bien-être, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/how_life-2017-fr.
[6] OCDE (2018), Regards sur l’éducation 2018 : Les indicateurs de l’OCDE, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/eag-2018-fr.
[1] OCDE (2017), Obesity Update 2017, Éditions OCDE, Paris, http://oecd.org/health/obesity-update.htm.
[7] OCDE (2017), Panorama de la santé 2017 : Les indicateurs de l’OCDE, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/health_glance-2017-fr.
[2] OCDE (2016), Comment va la vie ? 2015 : Mesurer le bien-être, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/how_life-2015-fr.
[5] OCDE (2011), Comment va la vie ? : Mesurer le bien-être, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/9789264121195-fr.
[4] OCDE (2010), La mesure du capital - Manuel de l’OCDE 2009 : Deuxième édition, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/9789264067752-fr.