La conceptualisation de ce rapport est le fait de l’équipe chargée de la question des crises et situations de fragilité au sein de la Division Partenaires mondiaux et politiques de la Direction de la coopération pour le développement, sous la direction de Cyprien Fabre et Paloma Durán y Lalaguna. Il a été rédigé par Harsh Desai, Kathleen Forichon, Erik Forsberg, Jonathan Marley, Dan Schreiber et Cushla Thompson, avec le soutien de Kristin Kirouac et Seve Loudon. Nous sommes particulièrement reconnaissants à la DCD du soutien qu’elle nous a apporté, et notamment à Catherine Anderson, Marc de Tollenaere, Ana Fernandes, Jenny Hedman, Megan Kennedy-Chouane, Carolyn Neunuebel, Yasmine Rockenfeller, Jens Sedemund et Lisa Williams, ainsi que Rachel Scott et Hugh MacLeman, anciens collègues de L’OCDE, pour leurs contributions dans leurs domaines de spécialité. Nos remerciements vont également à Yasmin Ahmad, Elena Bernaldo de Quirós et Aimée Nichols (OCDE) pour leurs conseils sur les statistiques de l’aide, et à Jieun Kim (OCDE), lYDIA Poole (consultant indépendant) et Joseph Stead (OCDE) pour leurs conseils sur les flux financiers externes et la fiscalité. Nous exprimons également notre gratitude à Oliver Fiala (Save the Children), Ugo Gentilini (Banque mondiale) Daniel Gerszon-Mahler (Banque mondiale), et Heriberto Tapia (PNUD) pour leurs conseils sur les données et statistiques, et en particulier pour l’Encadré 1 de cette publication.
Les membres du Réseau international sur les situations de conflit et de fragilité (INCAF) du Comité d'aide au développement (CAD) de l’OCDE ont apporté leurs conseils et commentaires sur les questions de fond tout au long du processus, ce qui a été un véritable atout pour l'équipe. Le rapport a par ailleurs grandement bénéficié des résultats d'un atelier qui s'est déroulé en janvier 2020 à Paris, et en particulier de la contribution deClaire Elder, Anna McDonald et Naomi Pendle du Centre for Public Authority and International Development de la London School of Economics. Nous tenons également à exprimer notre gratitude aux organisateurs du Forum SIPRI sur la paix et le développement qui nous ont donné la possibilité de présenter et de débattre de différents contenus se rapportant à la prévention des conflits et au rôle des acteurs de la sécurité. Des remerciements tout particuliers sont adressés aux principaux intervenants qui, par leurs contributions à ces sessions, ont généreusement offert de leur temps et partagé leur expertise : Marina Caparini (Stockholm International Peace Research Institute – SIPRI), Margherita Capellino (Bureau d'appui à la consolidation de la paix, Nations Unies), Helder da Costa (Secrétaire général du g7+), Maj. Gen. (Rtd) Adrian Foster (Small Arms Survey), Hafez Ghanem (Banque mondiale), Carin Jämtin (Directrice générale, Agence suédoise de coopération internationale pour le développement), Nancy Lindborg (United States Institute of Peace), Metsi Makhetha (Coordinatrice résidente du système des Nations Unies au Burkina Faso), Ulrika Modéer (Programme des Nations Unies pour le développement), Jorge Moreira da Silva (OCDE), Rebecca Richards (Programme alimentaire mondial), Rachel Scott (UNDP) Annika Söder (membre du Groupe de personnalités éminentes, Examen de l’architecture de la consolidation de la paix), Ashraf Swelam (Centre for Conflict Resolution, Peacekeeping and Peacebuilding − CCCPA), Rene van Nes (Service européen pour l’action extérieure) et El Ghassim Wane (Union africaine).
Des remerciements tout particuliers sont adressés aux membres de notre groupe de référence qui n'ont pas ménagé leurs efforts pour soutenir et orienter l’équipe tout au long du processus de conception et de production, et notamment à : Sara Batmanglich (Banque mondiale), Anne Bennett (DCAF, Centre pour la gouvernance du secteur de la sécurité de Genève), Adam Dubin (Professeur, Faculté de droit, Universidad Pontificia Comillas, Madrid, Espagne), Duncan Green (Professeur, Centre for Public Authority in International Development), Franziska Kohler (United Kingdom Foreign Commonwealth and Development Office), Keith Krause (Centre sur les conflits, le développement et la consolidation de la paix, Institut de hautes études internationales et du développement, Genève), Firoz Lalji (Centre for Africa, London School of Economics and Political Science), Sorie Lee (Ministère des Affaires étrangères de la République de Corée), Max Middeke (Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit, GIZ), Jonathan Papoulidis (World Vision), Emily Rainey (Australie, Department of Foreign Affairs and Trade), Simon Rynn (United Kingdom Foreign Commonwealth and Development Office), Jago Salmon (SIPRI/Centre for International Cooperation), Filipa Schmitz Guinote (Comité international de la Croix-Rouge), Hugo Slim (University of Oxford), Charles Tellier (Agence française de développement) et Rima Turk (Fonds monétaire international).
Sara Batmanglich, Cyprien Fabre, Ida McDonnell, Ana Maria Menéndez et Paloma Durán y Lalaguna ont formulé des commentaires et observations additionnels à des étapes clés. La révision du document a été assurée par Susan Sachs et sa relecture par Jill Gaston (version anglaise) et Sophie Alibert (version française). La maquette et la représentation graphique des données ont été réalisées par Soapbox Graphics. Stacey Bradbury, Stephanie Coic et Henri-Bernard Solignac-Lecomte ont contribué à l’ensemble du processus de production à l'OCDE. Nous tenons également à remercier Mireille Benicke, Jane Birchall, Ciara Keeshan, Petia Petrova et Laura Roberts (DCD/GPP) qui nous ont apporté un soutien extrêmement précieux.
Ce projet a été généreusement cofinancé par la Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), au nom du ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), le ministère des Affaires étrangères et du Commerce (DFAT) de l’Australie, l’Agence française de développement (AFD), Irish Aid, la Direction du développement et de la coopération (DDC) de la Suisse et le Foreign Commonwealth and Development Office (FCDO) du Royaume-Uni.