Les projets de l’AFD sont généralement financés sans taxe, droit et prélèvement de toutes sortes, même s'il existe des exceptions à cette politique. À l’heure actuelle, les exceptions à cette politique relative à l’APD sont notamment :
- Les activités de financement conjoint avec les BMD telles que la Banque mondiale et la Banque interaméricaine de développement
- La plupart des projets de Proparco
- Le financement des services de conseil
- Le financement d’organisations de la société civile (si demandé)
- Les contrats de désendettement et de développement (C2D)
- Certains projets menés avec des pays spécifiques d’Afrique et d’Amérique latine (Gabon, Kenya et Côte d’Ivoire pour les prêts souverains ; Madagascar pour le financement d’entités du secteur privé ; Bolivie pour tous les projets financés par l’AFD ; et Équateur).
Tout au long de sa Stratégie interministérielle 2020 d'appui à une meilleure mobilisation des ressources intérieures dans les économies en développement, la France réaffirme son engagement à l’égard du Programme d’action d'Addis-Abeba de 2015 sur le financement du développement et de l’Initiative fiscale d’Addis-Abeba (ATI).