Pour ce qui est des prêts d’APD, le Japon demande généralement à tout pays emprunteur d’exonérer : (1) la JICA (Agence japonaise de coopération internationale) de tout prélèvement fiscal et impôt prévus dans le pays emprunteur sur ou en en lien avec le prêt et les intérêts y afférents ; (2) les entreprises japonaises intervenant en qualité de fournisseur, de sous-traitant et/ou de consultant, de tout prélèvement fiscal et impôt prévus dans le pays emprunteur en lien avec les revenus issus de la fourniture de produits et/ou de services au titre du prêt ; (3) les entreprises japonaises intervenant en qualité de fournisseur, de sous-traitant et/ou de consultant, de tout droit de douane et autre charge fiscale prévus dans le pays emprunteur en lien avec l'importation et la réexportation de leurs propres matériaux et équipements nécessaires à la mise en œuvre du projet ; et (4) les employés japonais intervenant dans la mise en œuvre du projet, de tout prélèvement fiscal et impôt prévus dans le pays emprunteur sur le revenu perçu d’entreprises japonaises intervenant en qualité de fournisseur, de sous-traitant et/ou de consultant dans la mise en œuvre du projet.
Pour ce qui est de l’aide sous forme de dons, le Japon demande généralement aux gouvernements bénéficiaires de prendre les mesures nécessaires pour garantir l’exonération des droits de douane, des taxes intérieures et de tout autre prélèvement fiscal prévus dans le pays bénéficiaire en lien avec les produits et/ou les services acquis au moyen des dons.
Lorsque des exonérations sont prévues, elles sont demandées dans tous les pays.