Ces statistiques se fondent sur la Base de données des Statistiques de la recherche et développement (http://oe.cd/srd-fr). Se reporter à cette source pour davantage de renseignements sur les données, en particulier sur les ruptures de séries et autres problèmes analogues.
Pour l’Afrique du Sud, le Canada et le Mexique, les données se rapportent à 2005 et 2013.
Pour l’Autriche, l’Espagne, la Grèce et la Lettonie, le personnel de R-D inclut le personnel interne ainsi que certains intervenants de l’extérieur ; des doubles comptes sont possibles si plusieurs répondants comptabilisent les mêmes individus dans leur personnel de R-D.
Pour la Canada, la R-D dans les sciences sociales et humaines n’est pas prise en considération en ce qui concerne le secteur des entreprises et le secteur PSBL.
Pour le Chili, les données se rapportent à 2007 et 2015.
Pour la Chine, l’Irlande et la Turquie, aucune enquête sur la R-D n’a été menée auprès du secteur privé sans but lucratif (PSBL), ses activités en la matière étant tenues pour négligeables.
Pour la Chine et Israël, la part militaire de la R-D du secteur de la défense n’est pas prise en compte.
Pour la Chine, les données sur les chercheurs rassemblées dans le cadre d’enquêtes antérieures à 2009 l’ont été sur la base du concept de « scientifique et ingénieur » défini par l’UNESCO, et celles réunies depuis sur la base du concept de « chercheur » au sens du Manuel de Frascati, d’où une rupture de série entre 2008 et 2009.
Pour la Corée, les données sur le personnel de R-D en 2005 excluent la R-D dans les sciences sociales et humaines.
Pour les États-Unis, les données se rapportent à 2008 et 2015 et la proportion de chercheurs dans le personnel de R-D hors secteur des entreprises est une estimation à partir de données historiques.
Pour la Grèce, un changement d’ordre méthodologique a été introduit en 2011 avec l’extension du secteur de l’État et de l’enseignement supérieur de manière à y inclure les hôpitaux publics, l’ensemble des institutions relevant du ministère de la Culture, tous les établissements d’enseignement technologique et les établissements d’enseignement post-secondaire, ce qui s’est traduit par une augmentation du nombre de chercheurs.
Pour l’Irlande, un changement d’ordre méthodologique a été introduit en 2013 avec l’inclusion des doctorants dans le secteur de l’enseignement supérieur, ce qui a considérablement accru les effectifs de chercheurs.
Pour l’Islande et l’année de référence 2013, la méthode de collecte des données a été modifiée, donnant lieu à des ruptures de séries. Les principales différences tiennent à la refonte du questionnaire, l’utilisation des registres des entreprises, l’obligation légale faite à celles-ci de répondre à l’enquête, la définition, dans le questionnaire, de certaines notions essentielles en matière de R-D, et diverses modifications dans la répartition des établissements entre les secteurs des entreprises ou de l’État.
Pour Israël, les données se rapportent à 2014 et les proportions sont des estimations fondées sur les données disponibles pour cette année-là.
Pour la Lettonie, le secteur PSBL est comptabilisé avec le secteur des entreprises.
Pour le Luxembourg, un changement d’ordre méthodologique, en 2012, a permis de mieux isoler la R-D dans les activités logicielles et, par conséquent, entraîné une diminution de l’effectif de chercheurs.
Pour la Nouvelle-Zélande, le secteur PSBL est comptabilisé avec le secteur des entreprises.
Pour la Norvège, dans le secteur des entreprises, les données se rapportent aux diplômés universitaires et non aux chercheurs.
Pour les Pays-Bas, un changement d’ordre méthodologique est intervenu en 2012 avec la modification, dans les enquêtes nationales, des données relatives au personnel selon la fonction exercée, entraînant une augmentation substantielle de l’effectif de chercheurs.
Pour le Portugal, le personnel de R-D a augmenté en 2008, sous l’effet principalement d’améliorations d’ordre méthodologique dans les différents secteurs institutionnels (État, enseignement supérieur et institutions privées sans but lucratif) : les réponses consignées dans chaque formulaire d’enquête ont été confrontées au contenu d’autres bases de données internes ce qui a abouti, entre autres, à la prise en compte de l’ensemble des enseignants des universités titulaires d’un poste permanent et de tous les chercheurs financés par le ministère de la Science, de la Technologie et de l’Enseignement supérieur en 2008.
Pour la Slovénie, la méthodologie employée a changé en 2011, d’où une meilleure analyse des non-réponses et l’utilisation de nouvelles sources administratives pour mieux identifier les exécutants de R-D, ce qui s’est traduit par une forte hausse de l’effectif de chercheurs.
Pour la Suède, les données de 2005 du secteur des entreprises se rapportent aux diplômés universitaires et non aux chercheurs. Un changement d’ordre méthodologique a été introduit en 2013 : dans le secteur des entreprises, le secteur PSBL et le secteur de l’État, il a été demandé aux unités déclarantes de classer leur personnel en deux catégories, « chercheurs » et « autre personnel », et non plus trois. « Autre personnel » regroupe les catégories« techniciens et personnel équivalent » et « autre personnel de soutien ». Une partie du personnel, à compter de l’année de référence 2013, a été transférée de la catégorie des « techniciens » à celle des « chercheurs ».
Pour la Suisse, le personnel de R-D du secteur PSBL n’entre pas dans le total.